Freudexamine dans cette étude l'humour et ses rapports avec l'inconscient De nombreuses théories ont été suggérées sur l'humour et le rire : comme toujours, le pÚre de la psychanalyse renouvelle entiÚrement le sujet. Il arrive à la conclusion que « l'humour est la contribution apportée au comique par l'intermédiaire du surmoi », au terme d'un de ses essais brillants,
Quelques considĂ©rations spĂ©cifiques sur la psychanalyse dans ses relations avec le divin » ou plus trivialement avec la morale chrĂ©tienne La psychanalyse, art extrĂȘmement dĂ©licat, puisqu’il vise Ă  modifier la personnalitĂ© humaine dans ses relations morales avec autrui famille, milieu culturel et sociĂ©tĂ©, doit ĂȘtre rĂ©servĂ©e Ă  une Ă©lite de praticiens » ConsidĂ©rations gĂ©nĂ©rales sur la psychanalyse Les stades de dĂ©veloppement libidinal/ Fonctions de Complexe d’OedipeDans l'Ă©volution de l'activitĂ© libidinale la psychanalyse, distingue des pĂ©riodes ou stades de Le stade oral Premier stade de l'Ă©volution libidinale, le plaisir sexuel est alors liĂ© de façon prĂ©dominante Ă  1'excitation de la cavitĂ© buccale et des lĂšvres. L'activitĂ© de nutrition fournit les significations Ă©lectives par lesquelles s'exprime et s'organise la relation d'objet, par exemple la relation d'amour Ă  la mĂšre sera marquĂ©e par les significations manger, ĂȘtre Le stade sadique anal DeuxiĂšme stade de l'Ă©volution libidinale, qu’on peut approximativement situer entre deux et quatre ans ; il est caractĂ©risĂ© par une organisation de la libido sous le primat de la zone Ă©rogĂšne anale; la relation d'objet est imprĂ©gnĂ©e de significations liĂ©es Ă  la fonction de dĂ©fĂ©cation expulsion rĂ©tention et Ă  la valeur symbolique des fĂšces. On y voit s'affirmer le sado-masochisme en relation avec le dĂ©veloppement de la maĂźtrise Le stade phalliqueStade d'organisation infantile de la libido venant aprĂšs le stade oral et anal et caractĂ©risĂ© par une unification des pulsions partielles sous le primat des organes gĂ©nitaux ; mais 1'enfant, garçon ou fille, ne connaĂźt Ă  ce stade qu'un seul organe gĂ©nital, l'organe mĂąle, et l'opposition des sexes est Ă©quivalente Ă  l'opposition phallique, chĂątrĂ©. Le stade phallique correspond au moment culminant et au dĂ©clin du complexe d'Oedipe; le complexe de castration y est Le stade gĂ©nital Stade du dĂ©veloppement psycho sexuel caractĂ©risĂ© par 1'organisation des pulsions partielles sous le primat des zones gĂ©nitales ; il comporte deux temps sĂ©parĂ©s par la pĂ©riode de latence ; la phase phallique et l'organisation gĂ©nitale proprement dite qui s'institue Ă  la pubertĂ©. 19 Pour Hesnard l’intĂ©rĂȘt sexuel socialisĂ© fait naĂźtre le dĂ©sir du but sexuel adulte, l’acte sexuel pĂ©nĂ©tration active chez l’homme, passive chez la femme, et de l’objet sexuel adulte, le partenaire du sexe opposĂ©La mĂšre, par la nourriture, le sein qu’elle donne Ă  l’enfant, par les soins qu’elle lui prodigue, par l’amour qu’elle lui manifeste, Ă©veille l’enfant au dĂ©sir, et sera toujours l’objet idĂ©alisĂ© dans tous les choix d’objets, le paradis perdu Ă  jamais, parce que dĂ©sir auquel il faut le garçon, le dĂ©sir est Ă  son apogĂ©e dans le dĂ©sir de l’inceste, dĂ©sir impossible, dĂ©sir qui doit ĂȘtre judicieusement contrecarrĂ© par le pĂšre, qui doit signifier Ă  son fils, parfois rappeler Ă  sa femme, dans la mesure oĂč l’enfant est pour elle un objet sexuel exclusif, le nĂ©cessaire interdit de l’incestePour la psychanalyse, le complexe d'Oedipe joue donc un rĂŽle fondamental dans la structuration de la personnalitĂ© et dans 1'orientation du dĂ©sir humain. Chez les garçons le dĂ©sir est Ă  son apogĂ©e dans le dĂ©sir de 1'inceste, dĂ©sir qui doit ĂȘtre contrecarrĂ© par le pĂšre. Le complexe d'Oedipe du garçon sombre sous 1'effet du complexe de castration qui introduit le garçon dans la reconnaissance de la Loi du chez le garçon la menace de la castration est dĂ©terminante, le complexe de castration prise de conscience du manque de pĂ©nis introduit 1'Oedipe chez la fille qui dĂ©sire avoir le pĂ©nis du pĂšre. La femme adulte et normale » doit renoncer Ă  1'envie du pĂ©nis et accepter d'ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©e par le pĂ©nis de 1'autre sexe. 20Pour Freud, l’envie du pĂ©nis chez la femme ou le comportement de protestation masculine Freud fait allusion aux mouvements fĂ©ministes est une nĂ©vrose en gĂ©nĂ©ral. Avoir un enfant de quelqu’un d’autre que son pĂšre, est pour la psychanalyse, la rĂ©alisation substitutive du dĂ©sir de la femme d’avoir un Freud "Une premiĂšre opposition apparaĂźt avec le choix d'objet qui, en effet, prĂ©suppose sujet et objet. Au stade de l'organisation prĂ©gĂ©nitale sadique anale il n'est pas encore question de masculin et de fĂ©minin, l'opposition entre actif et passif est celle qui domine. Au stade suivant, celui de 1'organisation gĂ©nitale infantile, il y a bien un masculin mais pas de fĂ©minin; 1'opposition s'Ă©nonce ici organe gĂ©nital masculin ou chĂątrĂ©. C'est seulement quand le dĂ©veloppement, Ă  1'Ă©poque de la pubertĂ©, s'achĂšve, que la polaritĂ© sexuelle coĂŻncide avec masculin et fĂ©minin. Le masculin rassemble le sujet, 1'activitĂ© et la possession du pĂ©nis ; la fĂ©minitĂ© perpĂ©tue 1'objet et la passivitĂ©. Le vagin prend maintenant valeur comme logis du pĂ©nis, il recueille 1'hĂ©ritage du sein maternel."Pour la psychanalyse, parents et Ă©ducateurs doivent imposer Ă  l'enfant les "frustrations nĂ©cessaires" qui Ă©tablissent chez le sujet un Ă©quilibre entre le "principe du plaisir" et le "principe de rĂ©alitĂ©". Pour la psychanalyse le vrai plaisir est la rĂ©solution efficace et adaptĂ©e des tensions provoquĂ©es par le "manque", c'est le "repos du guerrier" .L'enfant doit apprendre que tout se "paye", que tout se "conquiert" par le travail et le renoncement aux plaisirs immĂ©diats...Pour Freud"Cette incapacitĂ© de la pulsion sexuelle Ă  se procurer la satisfaction complĂšte, dĂšs qu'elle est soumise aux premiĂšres exigences de la civilisation, devient la source des oeuvres culturelles les plus grandioses qui sont accomplies par une sublimation toujours plus poussĂ©e de ses composantes pulsionnelles. Quel motif les hommes auraient-ils pour utiliser autrement les forces d'impulsion sexuelles si elles pouvaient se procurer, par une rĂ©partition quelconque, une satisfaction donnant un plaisir complet? Ils ne se dĂ©tacheraient plus jamais de ce plaisir et n'accompliraient plus aucun progrĂšs...Puisque le pĂ©nis - pour suivre Ferenczi - doit son investissement narcissique extraordinairement Ă©levĂ© Ă  la signification organique qu'il a pour la continuation de l'espĂšce, on peut considĂ©rer que la catastrophe que subit le complexe d'Oedipe dĂ©tournement de l'inceste et instauration d’une conscience morale comme une victoire de la race sur l'individu."Pour la normalitĂ© et l’équilibre psychique de l’enfant et de l’adulte de demain, les parents doivent ĂȘtre Ă  la fois objet dĂ©sirable mais aussi savoir imposer la Loi du PĂšre, tenir le dĂ©sir de l’enfant Ă  distance pour Ă©viter les fixations incestueuses, mais en mĂȘme temps Ă©veiller l’enfant au dĂ©sir Pour Freud L’affection de l’enfant pour ses parents laisse les impression s les plus profondes peut-ĂȘtre, qui renouvelĂ©es pendant la pubertĂ© commanderont la direction du choix des objets
 Les querelles des parents entre eux, un mariage malheureux, entraĂźnent comme suite de lourdes prĂ©dispositions Ă  des troubles du dĂ©veloppement sexuel ou Ă  des nĂ©vroses chez leurs enfants. » 21Les parents doivent donc imposer Ă  l’enfant les frustrations nĂ©cessaires, ni trop, ni trop peu pour que l’enfant aboutisse Ă  un certain renoncement aux instincts pour qu’advienne, selon la psychanalyse, le nĂ©cessaire Ă©quilibre entre le principe de plaisir et le principe de rĂ©alitĂ©. Le vrai plaisir ne peut ĂȘtre, pour un adulte normal et civilisĂ©, que la rĂ©solution efficace et adaptĂ©e, admise par la culture » des tensions provoquĂ©es par le manque », les frustrations et renoncements qui s’imposent quotidiennement. Le plaisir de l’homme civilisĂ© la fin d’une tension, la rĂ©compense d’un effort, le repos du guerrier ».L’enfant doit apprendre que rien n’est donnĂ© gratuitement, que tout se paye », que les bienfaits de la civilisation sont le rĂ©sultat d’un travail pas toujours marrant, d’un dur labeur. La seule recherche du plaisir, la satisfaction immĂ©diate et totale des pulsions signifierait le retour Ă  l’ancienne loi de la jungle » des dĂ©buts de l’humanitĂ©, le retour Ă  la barbarie de l’homme primitif »De ce fait La psychanalyse, art extrĂȘmement dĂ©licat, puisqu’il vise Ă  modifier la personnalitĂ© humaine dans ses relations morales avec autrui famille, milieu culturel et sociĂ©tĂ©, doit ĂȘtre rĂ©servĂ©e Ă  une Ă©lite de praticiens » MĂȘme si certains psychanalystes se dĂ©marquent d'un psychologisme simpliste, s'ils s'interrogent sur la finalitĂ© de la psychanalyse, ils reviennent toujours sur la nĂ©cessitĂ© de faire face Ă  la Serge Leclaire"Assumer la castration c'est, sinon regarder la rĂ©alitĂ© en face tout au moins tenir compte de 1'impossible mesure de la jouissance....La dĂ©marche psychanalytique tend Ă  travers le dĂ©chiffrement du rĂ©seau oedipien Ă  conduire celui qui s'y engage Ă  faire face Ă  la castration, c'est Ă  dire considĂ©rer le manque sans s'en dĂ©tourner aussitĂŽt. Le concept de castration dĂ©signe l'opĂ©ration par laquelle le manque rĂ©el, irrĂ©versible, insupportable et vĂ©ritablement historique s'articule avec le jeu et la rĂšgle des diffĂ©rences... Faire face Ă  la castration, c'est ayant reconnu qu'Ă  l'impossible chacun se trouve tenu, savoir que s'engager dans les voies du possible, consiste Ă  marcher comme il se doit en boitant." 22.Psychanalyse Ă©ducation sexuelle et morale chrĂ©tienneDans les annĂ©es soixante, 1’éducation sexuelle des enfants est devenue une "ardente obligation". Parents "informĂ©s", Ă©ducateurs "avertis", mĂ©decins et psychologues, sont appelĂ©s Ă  prendre en charge, conjointement et de façon continue, ce germe prĂ©cieux et pĂ©rilleux, dangereux et en danger, qu'est le sexe de l'enfant "Devant le danger prĂ©judiciable Ă  1'Ă©panouissement de 1'ĂȘtre humain et de la famille dans sa libertĂ© et sa dignitĂ©, il faut dĂ©velopper rapidement Ă©ducation et information sexuelle pour permettre aux individus d'assumer sainement la promotion Ă  la libertĂ© de procrĂ©ation, sinon 1'ampleur mĂȘme de cette Ă©volution risque de perturber Ă  la fois les individus et la collectivitĂ© qui auraient abandonnĂ© d'anciennes structures sans avoir su prĂ©parer de nouvelles libertĂ©s."Le livre "La vĂ©ritĂ© sur 1 'amour" de Marie-Claude Monchaux, dont nous citons quelques extraits hautement significatifs, nous a paru bien reprĂ©sentatif de 1'orientation de cette Ă©ducation sexuelle moralisante et chrĂ©tienne d'inspiration psychanalytique "La sexualitĂ© est un don magnifique que la vie fait Ă  chacun de nous .C'est aussi un don redoutable si 1 ' on en fait un mauvais usage... La masturbation est un Ă©goĂŻsme et nul bonheur rĂ©el ne peut jamais venir d'un Ă©goĂŻsme..".Si 1'adolescent atteint physiologiquement la maturitĂ© sexuelle il doit se maĂźtriser"La nature fait se chercher les garçons et les filles, et les rend amoureux...C'est un piĂšge...Tous les adolescents qui se lancent dans le flirt doivent savoir que cette attirance physique peut devenir trĂšs forte et les entraĂźner loin, quelques fois plus loin qu'ils n'ont le droit d'aller... Le dĂ©sir physique est un appel impĂ©rieux. Ils ne doivent pas y succomber parce que leur propre bonheur physique est en cause. La premiĂšre responsabilitĂ© consiste pour les adolescents Ă  se garder." La relation sexuelle idĂ©ale est la relation vĂ©cue par un couple adulte "L'amour physique pour atteindre Ă  la plĂ©nitude doit ĂȘtre vĂ©cu par des adultes en pleine possession de leur caractĂšre et de leurs facultĂ©s de tendresse...Autrement il n'est qu'une pauvre satisfaction personnelle coupĂ©e de toute sa richesse la plus grande... Le bonheur suprĂȘme pour le couple est dans et par leur relation la naissance d'un enfant."23Avec Marc Oraison, prĂȘtre et psychanalyste, nous atteignons les "hautes sphĂšres" de la morale chrĂ©tienne et des discours thĂ©ologiques avec lesquels le pape Jean-Paul II et ses Ă©vĂȘques nous gavent encore aujourd'hui "Les problĂšmes sexuels, s'ils ne sont pas bien Ă©clairĂ©s et mis en place, risquent fort de devenir une gĂȘne et parfois un obstacle Ă  une attitude religieuse vraie...Puissance d'amour relationnel et de procrĂ©ation, la sexualitĂ© est, dans la crĂ©ature rationnelle une participation analogique lointaine mais trĂšs directe au mystĂšre de Dieu, "Dieu crĂ©a 1 ' homme Ă  son image, Ă  1 ' image de Dieu il les crĂ©a. Gn 1. 27. Sous cette perspective, la jouissance affective et physique ne peut se concevoir, en valeur, que dans la signification Ă  la fois d'amour personnel et de gĂ©nĂ©ration qu'elle comporte dans le plan de Dieu; autrement elle devient littĂ©ralement monstrueuse, comme un dĂ©sordre vital et une trahison dĂ©gradante. En toute logique chrĂ©tienne, la rĂ©alisation sexuelle ne peut se concevoir comme juste positivement bonne que dans une relation conjugale de deux personnes unies par un couple dĂ©finitif."24}Si dans son ouvrage "L'Avenir d'une Illusion" Freud procĂšde Ă  une critique sans complaisance, comme nous 1'avons vu plus haut, des dogmes de la religion,il ne reste pas moins vrai qu'entre les prĂ©ceptes fondamentaux de la morale chrĂ©tienne et la psychanalyse, qui inscrit la rĂ©pression des dĂ©sirs,la soumission Ă  la Loi du PĂšre, l'acceptation de la "castration" dans son enseignement,et estime que la rĂ©volte est une "vanitĂ©",la rĂ©volution un danger mĂȘme pour 1'humanitĂ©, il y a une Ă©tonnante doute, sous l'influence du christianisme, la soumission Ă  la Loi du PĂšre n'apparaĂźt plus comme une obĂ©issance aveugle et sans une certaine contrepartie, qui est l’amour, la reconnaissance » promis Ă  ceux qui se soumettent, d’ailleurs cette soumission librement consentie s'est inscrite dans nos mentalitĂ©s comme Ă©tant la seule voie d’accĂšs Ă  la libertĂ©. AprĂšs avoir condamnĂ© la psychanalyse, 1'Eglise lui accorde une sympathie critique de bon aloi, confortĂ©e par une certaine convergence des enseignements et des pratiques de la psychanalyseDe fait, bon nombre de psychanalystes ont montrĂ© que les enseignements de la psychanalyse non seulement ne s'opposaient pas Ă  la religion chrĂ©tienne, mais pouvaient apporter un Ă©clairage nouveau dans la lecture de la Sainte exemple, Françoise Dolto, dans son livre"Les Evangiles et la foi au risque de la psychanalyse des Evangiles" fait des commentaires originaux et bien Ă©clairants qui soulignent bien cette proximitĂ© entre la figure, la personnalitĂ© du Christ, et 1'idĂ©al humain tel qu'il est conçu par la psychanalyse. 25 JĂ©sus lui-mĂȘme a Ă©tĂ© jusqu’au bout de son dĂ©sir faire ce que le PĂšre voulait. Il n’a aucune pensĂ©e de vengeance contre ceux qui le torturaient et lui donnaient injustement la mort, il n’a eu ni dĂ©robade ni esquive devant cette mort malgrĂ© les tourments de l’angoisse au Jardin des Oliviers. Son ĂȘtre tout entier volontairement acceptait de servir le dĂ©sir inconnaissable qui, par lui, devait s’accomplir pour sauver tous les humains des angoisses de leur dĂ©sir masquĂ© de l’horreur du pĂ©chĂ©, terrifiĂ© par la mort sommes des ĂȘtres de chair, nous cherchons la satisfaction de notre dĂ©sir, le jouir dans la chair. Mais jamais cette chair et les plaisirs qu’elle nous procure ne nous suffisent ni ne nous comble. JĂ©sus ressuscitĂ© nous enseigne que si nous cherchons en esprit et en vĂ©ritĂ©, en affrontant le doute et son Ă©preuve, si nous dĂ©passons la chair sans en bannir les plaisirs partagĂ©s, sans faire l’économie des risques pour notre corps, par-delĂ  la mort, nous trouverons l’épanouissement de notre dĂ©sir
.AprĂšs la mort, nous nous Ă©veillons donc, comme le dit l’Evangile pour le Christ, Ă  une vie autre. Le spirituel n’étant pas de la consommation charnelle, apportera une joie indicible avec nos mots actuels, car le plaisir dans la jouissance du corps n’est qu’une mĂ©taphore, une analogie. Nous dĂ©couvrirons alors le dĂ©sir de l’esprit effleurĂ©, pressenti seulement dans l’amour de maintenant. Oui, nous pourrons en esprit connaĂźtre la vĂ©ritĂ© de l’amour et, je le crois, une jouissance dont nous n’avons aucune notion avant d’ĂȘtre passĂ© par la delĂ  de notre pĂšre et de notre mĂšre et de tous les autres, jĂ©sus nous appelle Ă  oser ĂȘtre authentique, Ă  tenter d’ĂȘtre sincĂšre en vivant, Ă  son exemple, notre dĂ©sir unique et disponible Ă  chaque instant. Celui qui mange ma chair dit JĂ©sus, vivra. ». C’est, traduit dans le domaine spirituel, la transformation que vit sur le plan affectif chaque humain avec ses parents et ses amis. Le pain partagĂ© et le vin bu ensemble sont tĂ©moins de vie donnĂ©e, celle de JĂ©sus incandescence d’ disait de baptiser, c’est Ă  dire de plonger le monde entier dans un tourbillon d’amour fluide et circula. Il se sentait ĂȘtre ce tourbillon, ardeur de dĂ©sir de communication, passion d’amour crĂ©ateur. »JĂ©sus veut initier chacun Ă  vivre dans l’amour. VoilĂ  la clĂ© de la vie voilĂ  la victoire sur le pĂ©chĂ©, sur le sentiment de culpabilitĂ© nĂ© de l’orgueil des humains qui deviennent dĂ©pressifs aprĂšs l’échec de leurs projets ou de leurs entreprises. L’amour ne remĂąche ni les blessures, ni les Ă©checs, ni les dĂ©sespĂ©rances. L’amour mise et risque sur l’avenir .L’amour espĂšre tout. JĂ©sus nous initie au fait que la mort physique n’est pas un scandale. C’est une nĂ©cessitĂ© 25Dans sa pĂ©nĂ©trante "Histoire de la SexualitĂ©", Michel Foucault montre bien que la psychanalyse participe Ă  la mise en place d'un ordre moral qui se situe dans la perspective chrĂ©tienne du XVIII0 siĂšcle"On se moquera du reproche de pansexualisme qui fut un moment objectĂ© Ă  Freud et Ă  la psychanalyse. Mais ceux qui paraĂźtront aveugles seront moins ceux qui 1 ' on formulĂ© que ceux qui 1 ' on Ă©cartĂ© d’un revers de main, comme s'il traduisait seulement les frayeurs d'une vieille pudibonderie. Car les premiers, aprĂšs tout, ont Ă©tĂ© seulement surpris par un processus qui avait commencĂ© depuis bien longtemps et dont ils n'avaient pas vu qu'il les entourait dĂ©jĂ  de toutes parts ; ils avaient seulement attribuĂ© au mauvais gĂ©nie de Freud ce qui avait Ă©tĂ© prĂ©parĂ© de longue main; ils s'Ă©taient trompĂ©s de date quant Ă  la mise en place dans notre sociĂ©tĂ©, d'un dispositif gĂ©nĂ©ral de sexualitĂ©. Mais les seconds, eux, ont fait erreur sur la nature du processus; ils ont cru que Freud restituait enfin au sexe la part qui lui Ă©tait due et qui lui avait Ă©tĂ© si longtemps contestĂ©e; ils n'ont pas vu que le bon gĂ©nie de Freud l'avait placĂ© en un des points dĂ©cisifs marquĂ©s depuis le XVIII0 siĂšcle par les stratĂ©gies de savoir et de pouvoir; et qu'il relançait ainsi avec une efficacitĂ© admirable, digne des plus grands spirituels et directeurs de 1'Ă©poque classique, 1'injonction sĂ©culaire d'avoir Ă  connaĂźtre le sexe et Ă  le mettre en discours .On Ă©voque souvent les innombrables procĂ©dĂ©s par lesquels le christianisme ancien nous avait fait dĂ©tester le corps; mais songeons un peu a toutes ces ruses par lesquelles, depuis plusieurs siĂšcles, on nous a fait aimer le sexe,par lesquelles on nous a rendu dĂ©sirable de le connaĂźtre, et prĂ©cieux tout ce qui s'en dit; par lesquelles aussi on nous a incitĂ©s Ă  dĂ©ployer toutes nos habiletĂ©s pour le surprendre, et attachĂ©s au devoir d'en extraire la vĂ©ritĂ©;par lesquelles on nous a culpabilisĂ©s de 1'avoir si longtemps mĂ©connu...Ironie de ce dispositif il nous fait croire qu'il y va de notre "libĂ©ration"." 26Le refus de la Loi du PĂšre est un "pĂ©chĂ© contre l'Esprit" pour la religion nous y reviendrons plus loin ; dans nos dĂ©mocraties ce refus » est considĂ©rĂ© comme la manifestation d'un "anarchisme destructif", et pour la psychologie il est, tout simplement, symptĂŽme du dĂ©lirePour Jacques Lacan 27 " C’est dans le nom du pĂšre qu’il nous faut reconnaĂźtre de la fonction symbolique qui, depuis l’orĂ©e des temps historiques, identifie sa personne Ă  la loi ».Lacan reconnaĂźt bien volontiers que la place essentielle qu’occupe le Nom du PĂšre vient bien de la religion L’attribution de la procrĂ©ation au pĂšre ne peut ĂȘtre que l’effet du pur signifiant, d’une reconnaissance non pas du pĂšre rĂ©el, mais de ce que la religion nous a appris Ă  invoque comme le le Nom du PĂšre » La religion chrĂ©tienne qui lui attribue la fonction de procrĂ©ation, l’enfantement de la Vierge Marie est bien l’Ɠuvre de L’Esprit Saint, et la place qu’a pu prendre la Vierge Marie au dĂ©but du 20iĂšme corrobore bien ce constat » Ă©tablit par Lacan, qui reconnaĂźt bien cette convergence de la vraie religion » c’est Ă  dire du Christianisme avec la psychanalyse, et il ne souhaite pas moins une nĂ©cessaire » Ă©mancipation de la psychanalyse Ă  l’endroit de la religion qu’il Ă©pingle de bien belle maniĂšre Ă  la fin des Ecrits Peut-on espĂ©rer que la religion prenne dans la science un statut un peu plus franc ? Car depuis quelque temps, il est d’étranges philosophes Ă  y donner de leurs rapports la dĂ©finition la plus molle, fonciĂšrement Ă  les tenir pour se dĂ©ployer dans le mĂȘme monde, oĂč la religion dĂšs lors a la position enveloppante Pour nous, sur ce point dĂ©licat, oĂč certains entendraient nous prĂ©venir de la neutralitĂ© analytique, nous faisons prĂ©valoir ce principe que d’ĂȘtre ami de tout le monde ne suffit ps de prĂ©server la place d’oĂč l’on a Ă  opĂ©rer
 L’analyse Ă  partir de sujet de la science conduit Ă  y faire apparaĂźtre les mĂ©canismes que nous connaissons de la nĂ©vrose obsessionnelle. Freud les a aperçus dans une fulgurance qui leur donne une portĂ©e dĂ©passant toute critique traditionnelle. PrĂ©tendre y calibrer la religion, ne saurait ĂȘtre inadĂ©quat 
Disons que le religieux laisse Ă  Dieu la charge de la cause, mais qu’il coupe lĂ  son propre accĂšs Ă  la vĂ©ritĂ©. Aussi est-il amenĂ© Ă  remettre Ă  Dieu la cause de son dĂ©sir, ce qui est proprement l’objet su sacrifice. Sa demande est soumise au dĂ©sir supposĂ© d’un Dieu qu’il faut sĂ©duire. Le jeu de l’amour entre par lĂ . Le religieux installe la vĂ©ritĂ© en un statut de culpabilitĂ©. Il en rĂ©sulte une mĂ©fiance Ă  l’endroit du savoir, d’autant plus sensible dans les PĂšres de l’Eglise, qu’ils se montrent plus dominants en matiĂšre de raison. La vĂ©ritĂ© y est renvoyĂ©e Ă  ce qu’on appelle des fins eschatologiques
 d’oĂč le relent d’obscurantisme qui s’en reporte Ă  tout usage scientifique de la voir la situation actuelle Ă  travers ces derniĂšres rĂ©flexions nous en sommes bien loin, et certaines craintes exprimĂ©es sur un Ă©ventuel consensus mou entre la religion et la pour Françoise Dolto La mort du Christ sur la croix qui a pour corollaire sa rĂ©surrection est exemplaire parce qu'elle est accomplissement de l'ĂȘtre, Ă©panouissement du dĂ©sir. Le dĂ©sir ne peut se rĂ©aliser que dans l'accomplissement de la VolontĂ© du PĂšre " JĂ©sus a Ă©tĂ© jusqu'au bout de son dĂ©sir faire ce que le PĂšre voulait.». Mais il se pourrait bien que Jacques Lacan se renfrogne dans sa tombe, en lisant le dernier ouvrage de Françoise Dolto, et lui fasse des reproches assez sarcastiques» sur son idĂ©e que le dĂ©sir ne puisse se rĂ©aliser pleinement que par l’accomplissement de la volontĂ© du PĂšre, pour la raison, toute simple et d’une flagrante Ă©vidence, qu’il y a un certain hiatus, une contradiction essentielle entre la soumission Ă  la Loi du PĂšre et l’accomplissement du dĂ©sir. Jacques Lacan Ă©crit bien quelque part dans Ecrits quelque chose qui nous paraĂźt essentiel, et pointe les contradictions dans lesquelles, ce grand Monsieur » pouvait se mouvoir avec une certaine reconnaĂźt, certes, que Le dĂ©lire est forclusion du Nom du PĂšre, le Nom du PĂšre soutient la structure du dĂ©sir avec celle de la loi."
 Mais Quand la loi est vraiment lĂ , le dĂ©sir ne tient pas, mais c’est pour la raison que la loi et le dĂ©sir refoulĂ© sont une seule et mĂȘme chose. » En dernier lieu, il nous a paru intĂ©ressant de relever cette rĂ©ponse, hautement significative, Ă  une question posĂ©e par une journaliste, Ruth Grorichard Ă  un Ă©minent psychanalyste, Moustafa Safwan, elle apporte une derniĂšre touche bien savoureuse » aux rapports actuels entre psychanalyse et religionQuestion Freud n’y voyait-il pas une “illusion”, une nĂ©vrose obsessionnelle collective qui Ă  la fois soulage et entretient la culpabilitĂ© inconsciente Ă©prouvĂ©e par chaque individu, coupable selon lui d’avoir dĂ©sirĂ© dans sa petite enfance la mort du pĂšre ? Mais Freud pensait aussi que le progrĂšs de l’esprit scientifique devrait finir par dissiper cette illusion qu’est pour lui la religionRĂ©ponse Oui, mais cette thĂšse est aujourd’hui dĂ©passĂ©e. Le psychanalyste Jacques Lacan pense au contraire que la religion a de l’avenir, parce qu’elle donne sens Ă  un monde de plus en plus soumis au dĂ©chaĂźnement aveugle de la technique. La croyance, inĂ©liminable, est la forme premiĂšre de la pensĂ©e, et, comme l’a montrĂ© LĂ©vi-Strauss, les lois originelles auxquelles sont soumis les ĂȘtres parlants sont les lois du langage. DĂšs la naissance, nous sommes tous inconsciemment assujettis au langage que Lacan appelle le grand Autre. Dans les religions primitives, cet Autre Ă©tait incarnĂ© par l’ancĂȘtre mythique, le totem, les dieux de la citĂ© antique, avant de devenir le Dieu unique des religions monothĂ©istes, rĂ©vĂ©lant sa Loi par l’intermĂ©diaire de ses prophĂštes ».
Lesrapports que les trois enfants entretiennent avec le pĂšre seront analysĂ©s dans chacun des chapitres qui s‟inscrivent dans le prolongement de l‟exposĂ© de la mĂ©thodologie mobilisĂ©e dans le cadre de la prĂ©sente recherche. Le cinquiĂšme et dernier chapitre est consacrĂ© au pĂšre, Royal. L‟objectif est bien de dĂ©gager de ce La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 8 lettres et commence par la lettre F CodyCross Solution ✅ pour EN RAPPORT AVEC LE PÈRE DE LA PSYCHANALYSE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "EN RAPPORT AVEC LE PÈRE DE LA PSYCHANALYSE" CodyCross Planete Terre Groupe 20 Grille 4 1 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Planete Terre Solution 20 Groupe 4 Similaires Cliniquepsychanalytique. QU’EST-CE QU’UN PÈRE ? La fonction paternelle pour la psychanalyse. Par CORON O. novembre 2014. C’est Ă  partir de mes propres questions sur la fonction paternelle que j’ai souhaitĂ© ce groupe de travail. Un groupe de travail en psychanalyse c’est un lieu oĂč on part d’une question et oĂč on ressort avec d
Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "En rapport avec le pĂšre de la psychanalyse" groupe 20 – grille n°4 Freudien Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complĂšte du jeu. 👍
\n\n \n \nen rapport avec le pĂšre de la psychanalyse
II– La haine inconsciente et le lien social. III – De quoi la thĂ©orie du dĂ©clin du pĂšre est-elle le nom ? PremiĂšre partie. IV – Lacan et LĂ©vi-Strauss ou le retour Ă  Freud et la rupture avec Durkheim. V – Effets du transfert de Lacan Ă  LĂ©vi-Strauss sur la clinique psychanalytique : visite des grands cas de Freud
A LA UNE LE REVE DE FREUD? REDONNER DU SENS A LA VIE En inventant la psychanalyse, il allait bouleverser la pensĂ©e d'aujourd'hui La voie royale de l'inconscient RĂ©volte oedipienne contre barbarie moderne Survol des diverses thĂ©rapies psychanalytiques L'avis d'un comportementaliste L'avis d'une psychanalyste Les Ă©tapes du gĂ©nie 19, Berggasse. Fin et dĂ©but du voyage Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 20/11/1999 Ă  0000 Temps de lecture 19 min À LA UNE LE RÊVE DE FREUD? REDONNER DU SENS À LA VIE En inventant la psychanalyse, il allait bouleverser la pensĂ©e d'aujourd'hui L'inconscient a 100ans! Du moins, il y cent ans qu'un certain Sigmund Freud a rĂ©vĂ©lĂ© cette part enfouie de nous-mĂȘmes qui tout au plus signalait sa prĂ©sence derriĂšre des dĂ©chets psychiques», comme on disait alors, les lapsus, les mots d'esprit, les actes manquĂ©s, les rĂȘves. Et c'est prĂ©cisĂ©ment en publiant, le 4 novembre 1899, son Traumdeutung», son interprĂ©tation des rĂȘves, que Freud allait ouvrir une voie royale Ă  cette lecture intime de l'homme, Ă  cette mĂ©moire de l'ombre abritant nos dĂ©sirs, nos peurs, nos blessures. Notre Ă©lan de a beau ĂȘtre un gĂ©nie, sa dĂ©couverte n'a pas germĂ© par l'opĂ©ration du Saint-Esprit. Elle naĂźt dans le creuset de son histoire personnelle, celle du petit Juif raillĂ© par une Vienne antisĂ©mite, celle du scientifique pur et dur partant Ă  la conquĂȘte d'une reconnaissance universelle avec la dĂ©termination d'un Hannibal fonçant sur Rome. Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Avec cette offre, profitez de L’accĂšs illimitĂ© Ă  tous les articles, dossiers et reportages de la rĂ©daction Le journal en version numĂ©rique Un confort de lecture avec publicitĂ© limitĂ©e
Pourcela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "En rapport avec le pĂšre de la psychanalyse" (groupe 20 – grille n°4) :
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Solutionpour la rĂ©solution de "en rapport avec le pĂšre de la psychanalyse" Dictionnaire et dĂ©finitions utilisĂ©s DĂ©finition et synonyme en 2 Ă  9 lettres Ajouter une dĂ©finition FREUDIEN 8 lettres En rapport avec le pĂšre de la psychanalyse FREUD 5 lettres Nom propre Sigmund Freud (MĂ©decine) PĂšre de la psychanalyse Homme au divan PI 2 lettres Face Ă  la disjonction cette conjonction indiquĂ©e dans ce schĂ©ma, est-elle abusive dans une Ă©quivalence souvent trop Ă©vidente entre pĂšre et parole, retournement incessant, immĂ©diat, implicite entre Nom du PĂšre et PĂšre du Nom ?Face Ă  quoi l'analyste est invitĂ© Ă  se situer et intervenir, ne cessant pas de garder ouvert son dossier de fait il est trop rapidement, surtout aujourd'hui, Ă©vocateur de la structure, d’un “pur-cristal-structure”, faisant rĂ©union d'une façon trop simpliste entre pĂšre et parole, Ă  les confondre dans un avant coup, en un chaos originaire, le tohu-bohu de la Bible, en place de produire l’énigme du lien entre amour et haine s’appuyant su rle fameux narcissisme primaire, au point de remplir de mystĂšres la pratique de la psychanalyse autour d’un tel pur cristal structure plan clinique ce schĂ©ma ici est utile car il montre qu’il s’agit du pĂšre symbolique voisinant en dessous de la feuille de papier avec un rĂ©el qui est trou vrai , vrai trou dans la structure habillĂ©e par du-pĂšre Ɠdipien. Soit que du morceau de pĂšre fasse trou, donc en lien avec les trois ronds borromĂ©ens. C’est ce trou qui exige les trois ronds de ficelle et non l’inverse les conditions R S I de l’inconscient freudien sont telles que c est via ce trou que la psychanalyse surgit dans le monde .RĂ©el tel que l’en-dessous de la feuille de papier c’est le fĂ©minin qui ne fait pas rapport avec le point pĂšre, car entre les deux faces de la feuille, existe son tranchant en plan frontal, existe un impossible Ă  reprĂ©senter car le tranchant de la feuille de papier est de ce rĂ©el .2 Alors la pratique psychanalytique
.Pratique qui n'en demande pas tant puisque prĂ©cisĂ©ment de par la dynamique qui lui est singuliĂšre, elle interroge l'advenue Ă  l'existence et les modalitĂ©s d'application de ce pur-cristal-structure et dont seuls ses avatars sont en perceptibles dans une cure. .Soit du coup de poser la question de l'imaginaire, la question du corps comme rapport possible au pĂšre question, par exemple, inscrite dans les manuels de psychanalyse Ă  la rubrique “ Figures du pĂšre ”.Un document, pris dans l'art cinĂ©matographique, va nous Ă©clairer et poser un tel abord du-pĂšre, c'est le Popeye d'Altman. LĂ  sont montrĂ©s les effets, comiques certes, de stupiditĂ©, de stupĂ©faction, de stupeur que provoque le signifiant sur le sujet, si l'imaginaire ne vient pas tamponner, contenir les effets du rĂ©el en prise directe sur le symbolique. Le signifiant pĂšre, comme Nom-du-PĂšre, indique que la place de ce lieu de ce nom est toujours vide. Vide comme l'Autre, comme le ciel l’est de Popeye the sailor, dans sa stupeur, face Ă  la rĂ©alitĂ© du Un sĂ©parateur articulant les signifiants ME entre eux , lance-t-il “ ouk’tĂ©papopa ? - oĂč n'es-tu pas popa ?.Il trouvera alors son pĂšre Ă  sa place dans le lieu, soit un type ficelĂ© attachĂ© au plafond d'une cale de bateau, comme tout le monde. A le penser nulle part, il le trouve enfin partout c'est-Ă -dire dans le symbolique, rĂ©duit Ă  faire rite, idolation du symbole de l'absence, ici marquĂ© du fait de chercher pour ne pas le symbolique pour ne pas trouver le rĂ©el et entre il y a l’imaginaire
PĂšre dĂ©ficelĂ© et fils se retrouvent, mĂ©diation l'un de l'autre, et s'apprĂ©hendent miroirs en place de salauds moyens, de flibustiers genre lien social entre analystes, soit avec tout ce qu'il faut pour ne pas ĂȘtre trop dupes, moins stupĂ©faits par le rĂ©el inhĂ©rent Ă la lĂ  surgit le trauma, par le dĂ©sir du pĂšre, le flagrant dĂ©lit de pĂšre montĂ© en scĂšne par l’hystĂ©rique qui par ses symptĂŽmes crĂ©e son discours dont comme sujet elle ou il est l’agent .A cette stupĂ©faction du trauma fait Ă©cho la pudeur, et rĂ©vĂšle l’aspect pudique propre Ă  la structure du signifiant, soit de se poser manquant. Pudeur entre signifiant et corps. Cette pudeur est en fait du registre de la structure, la marque de l’impossible d'un rapport sexuel. Genre pĂšre et fĂ©minin de part et d’autre de la feuille de papier du schĂ©ma que citer un film et un film sur la filiation pose la question de l'auteur d'une crĂ©ation qui ne peut faire dĂ©sirer sinon Ă  son insu, car aucune mesure, aucun calcul ne sauraient imiter l'impossible dans une Ă©quivalence sans confusion entre le Un sĂ©parateur, disjonctif, et la conjonction, propre au discours de l’hystĂ©rique qui en advient et qui jouit de sa place de passeur de la jouissance du si la fonction du-pĂšre est d'emblĂ©e Ă©quivalente au pur symbolique de la structure pudique du signifiant, sorte de sans faute du pĂšre une fois fait dieu, se posent les questions de l' que le rĂ©el du pĂšre symbolique tenant ensemble, ni dispersĂ©s ni confondus, phallus, mĂšre, enfant, fait que la marque, le manque phallique est garanti, savoir que la psychanalyse ne nous abandonnera pas, mais avec le risque de rester dans le rite du signifiant pur, l'idolation de ce manque de prise en compte de l’ cela se modĂšre par la fonction de l'imaginaire de la figure du pĂšre comme processus dynamique, comme index du rĂ©el qui tient seul du fait de la pratique de la psychanalyse, et invite Ă  une sortie du pur tout christ-christ all- de la religion oĂč tout est alors pointer maintenant cette nĂ©cessitĂ© de l'articulation entre imaginaire et structure ?Un exemple nous Ă©claire. Le document est le suivant . “ pourquoi sommes-nous sur la Terre ? - est une question mise en travail par un thĂ©ologien au colloque “ Confrontations ” de 1982. - Si nous sommes sur la Terre, alors c'est que papa et maman ont eu des rapports sexuels, ont fait l'amour ensemble ”, etc., Ă©tait alors joliment avancĂ© comme y a lĂ  un appel au bon sens, Ă  l'imaginaire, et qui se montre toujours Ă  se dresser vers le haut, vers le religieux. Or cela plafonne vite, sous la forme par exemple d'un cadeau vraiment obtenu du ciel. Or le ciel est cela, la clinique le montre, enclenche la part phobique de l’humain, prĂ©sente dans toute nĂ©vrose, puisque la phobie c est le risque que le ciel ne soit plus vide. Les croyants prient que le trou reste trou et la meilleure façon c est de n’en rien Ă  faire jouer dans cette phrase l'implication logique et la nĂ©gation, nous aboutirions rapidement Ă  la transparence de la formule, du genre si nous ne sommes pas sur la terre, c'est qu'alors papa et maman n’ont pas fait l’amour et lĂ  surgit le vertige de comment le savoir puisque je ne suis pas sur la Terre. VoilĂ  la question de l’ documents indiquent la question du pĂšre. Ainsi le CongrĂšs de MontrĂ©al des langues romanes Revue française de psychanalyse, n' 5, 1982 avance que la question du pĂšre, dans son actualitĂ©, est fondamentalement liĂ©e Ă  l'Ă©thique de la psychanalyse soit que les Ă©lĂ©ments en cours dans une cure sont le fait qu’ils ont trait aux propres dĂ©faillances inhĂ©rentes Ă  la structure qui les la question des ProcrĂ©ations MĂ©dicales AssistĂ©es le rapport au pĂšre gĂ©niteur et au Nom du PĂšre, qui renvoie au thĂšme “ de l'Ă©tranger ”, Ă  savoir de poser la diffĂ©rence entre nouveau venu et encore les assertions sur l'aplatissement de l'imaginaire du pĂšre dans le discours politique ne sommes-nous pas face au triomphe de l'image tĂ©lĂ©visĂ©e qui gadgĂ©tise tout, oĂč le pĂšre n’est investi que comme objet rĂ©el, dans notre rĂ©alitĂ©, alors qu'il s'agit simplement de l'idolation de la technique, soit du gadget... et donc du pĂšre mis en tension avec ce pur cristal structure que nous sommes amenĂ©s Ă  poser pour dĂ©-chosifier le du-pĂšre pris dans l’idĂ©al comment en effet poser la question du pĂšre cotĂ© psychanalyse aujourd'hui ?Cela permet-il de prĂ©ciser les conditions symboliques, de discours, de l'expĂ©rience psychanalytique ?Le dossier du-pĂšre vĂ©rifie-t-il que les conditions de la pratique sont les registres RĂ©el, Imaginaire, Symbolique, et cotĂ© Freud sont-elles l’Ɠdipe, le transfert, la castration ? qui sont nos appuis l’Enseignement de Jacques Lacan et l’Oeuvre de Freud?Mais si le du-pĂšre vient poser aux analystes la question de ce qu'ils font dans la pratique, cette question peut ĂȘtre retournĂ©e. En effet, la pratique vĂ©rifie-t-elle “ du-pĂšre ” ? Le “ du-pĂšre - cadrĂ©, Ă©clairĂ© par la psychanalyse mieux ou plus qu'ailleurs ? Les conditions de l'expĂ©rience psychanalytique sont elles causes ou consĂ©quences de la question du-pĂšre ?Un exemple nous fait s'agit d'un rire d'enfants assistant au film de Spielberg, l'extra-terrestre, survenu quand la plupart des enfants de la salle de spectacle constatent qu'Eliott le hĂ©ros du film, c'est dĂ©jĂ  littĂ©ralement s'identifie et sauve un certain extra-terrestre en trĂšs grand rire, qui prĂ©domine donc chez les enfants bien plus que chez les adultes prĂ©sents dans la salle de spectacle, survient quand cette prĂ©sence est rĂ©vĂ©lĂ©e comme semblable en place de semblant. en place de semblant autorise, de ce signe fait avec un doigt bizarrement pĂ©nien traversant tout l’écran , la relation de prochain Ă  prochain fondĂ©e sur l'Ă©galitĂ© face Ă  la parole comme porteuse de et sont en Ă©galitĂ© face au semblant qui les tient vivants dĂ©sirants .Place est faite Ă  la parole dans l'Ă©change de ceux qui se reconnaissent semblables et qui sont pourtant trĂšs dissemblables quant Ă  l'image rĂ©elle. Le rire signe ce pacte avec cette face monstre de l'animal-pĂšre accĂ©dant Ă  la parole, au symbolique, Ă  l’apprivoisement du pĂšre est comme le criquet pĂšlerin dĂ©crit par Lacan Ă  propos du stade du miroir venu de sa maison, il doit y retourner. Eliott et sont pareils, de mĂȘme grĂ©garitĂ©. Comme Popeye pĂšre et fils. Du miroir les tient les lettres E et T sont les initiales de Eliott
.Mais ce c’est aussi le radicalement Ă©tranger. Venu d’une autre planĂšte que la Terre oĂč nous sommes parce que papa et maman ont fait boum boum
Surgit alors l'envers de la question “ d'oĂč viennent les enfants ? ”, sous la forme de“ oĂč va un pĂšre ? ” A la mort, dit Freud. Est ce lĂ  ce qui lui a fait faire son analyse , et nous depuis et devenir fin du rĂ©cit se marque du dĂ©part oĂč est dit Ă  Eliott “ je suis toujours avec toi ”, soit de l’altĂ©ritĂ© et de l’étranger sont en toi. Nemen mensh le plus loin et le plus roche, le plus secourable et le plus source d’effroi. Question pĂšre c est que le pĂšre se sait pĂšre mais depuis qui ? d’oĂč mon titre sous forme d’une redondance de auparavant dans le film, il est nĂ©cessairement mort. Il y a lĂ  le du-pĂšre qui vient Ă  s'enfouir dans la mort comme question, comme pur est bien marquĂ©, fĂ©eriquement, puisque Eliott. redonne vie Ă  vie au sens du dĂ©sir, puisque le signe de la rĂ©surrection est qu'une fleur fanĂ©e que est mort, qu'il est en place de pĂšre, et qu'il le sait, pour une fois, contrairement Ă  ce que Freud nous apprend dans son rĂȘve fameux qu'un “ pĂšre Ă©tait mort et qu'il ne le savait pas... ” qu’il Ă©tait pĂšre et/ou qu’il Ă©tait mort
.L’homme aux Rats, lui, rĂ©sout cela par ses sentences et contraintes pour effacer les traces des traces de ses inhibitions, symptĂŽmes et angoisses, pour attendre, comme Hamlet, que le spectre du pĂšre archi-mort lui dise sa jouissance, d’oĂč pour notre obsessionnel hyper douĂ© de se masturber comme de cette issue
 Ă  sa pulsion sexuelleEt ET » lettres en français de la conjonction, c'est alors lĂ  le dĂ©part vers son - home - et la dĂ©claration d'amour du fils au pĂšre, pĂšre enfoui dans l'inconscient du sujet, oubliĂ© sous la forme d'un dieu stellaire, cosmique. OubliĂ© =DĂ©clin du complexe d’Ɠdipe au sens de Freud.Ainsi, sorte d'animal Ă  abattre au dĂ©part, trace d'altĂ©ritĂ© ensuite, vient Ă  ĂȘtre imaginarisĂ© sous la forme de cette figure de pĂšre avec laquelle un pacte s'est conclu le rire d'enfants assistant au spectacle en tĂ©moigne. Figure Ă  forme de grenouille, de cochon, c'est aussi un symbole trĂšs singulier, une automobile avec un Ă©norme feu clignotant Ă  la place du cƓur, Ă  allure le moi et l'inconscient, c’est lĂ  oĂč le fils se situe comme mĂ©diation de la parole, Eliott et Popeye payent ainsi leur dette en renvoyant cette parole au pĂšre, qui Ă©videmment s'en empare comme tout le effet, au plan dit imaginaire, le pĂšre, dans la rĂ©alitĂ© d'Eliott, a quittĂ© sa famille, il est absent, parti au Mexique avec Sally, sa belle. Cette absence rĂ©alisĂ©e du pĂšre, est exigĂ©e pour la marche du rĂ©cit, du scĂ©nario. C’est lĂ  sa jouissance, e c’est la cause du rĂ©cit qui en est fait et implique qu’Eliott s'invente en place de pĂšre de touche Ă  l’exil certes rĂ©el de ET mais surtout Ă  l’exil interne d’Eliott, celui inhĂ©rent Ă  la structure de bĂ©ance , au trou irrencontrable mais non sans effet. On est exilĂ© de sa structure, de ce pur cristal structure et dont ses avatars
.seuls sont perceptibles. Notamment par le corps de du-pĂšre Ă  l’ allure de ce qui commence un fƓtus
.CORPSSur le plan du rĂ©el, c'est par ce moyen-lĂ , rĂȘve, fantasme, que le rĂ©el du corps du pĂšre est interrogĂ©, et il est interrogĂ© par le sadisme des savants mĂ©decins qui prennent comme proie de leur dĂ©sir de savoir et rĂ©vĂšlent que cet Ă©tranger est en exclusion comme Autre radical, diffĂ©rent mĂȘme de l'Ă©trangetĂ© et qu'ils doivent le faire rentrer dans leur ordre symbolique. Ainsi un flic ne va-t-il pas dire que cela fait une Ă©ternitĂ©, dix ans, qu'il attend lui aussi Par la mĂȘme, ĂŽ combien, surgit le souhait de la rencontre avec l'Autre quand il s'agit de la question du pĂšre...5Avec ce document-lĂ , maintenant peut ĂȘtre abordĂ© le rapport entre pratique de la psychanalyse et le pĂšre comme cela on l’a vu c’est le rapport du pĂšre a la mort, savoir l'enfouissement de la question du-pĂšre dans celle de la mort. Cette fonction du pĂšre 1ER absentiife’ la mort dans l’inconscient .C’est le renversement de la question d'oĂč viennent les enfants ” en oĂč va un PĂšre », Ă  la mort ». Et qui pose la question suivante comment commencent la nĂ©vrose, l'inconscient, la parole ? oĂč le mot “ comme disait Aragon, est le plus beau mot de la langue française, car il Ă©voque prĂ©cisĂ©ment l'existence mĂȘme de la antĂ©cĂ©dence premiĂšre, de pure logique, du comment ça commence, est propre Ă  la fonction de substitution de la mĂ©taphore paternelle dans I'ƒdipe au sens exemple de ce qu'on appelle - fĂȘte des pĂšres - nous Ă©claire en effet un enfant Ă©crit Ă  son pĂšre, Ă  l'occasion de cette fĂȘte, que le seul cadeau qu'il puisse lui faire est de lui Ă©crire qu'il existe une fĂȘte des pĂšres, soit qu'il y ait de l'existence!Cette existence s'Ă©crit par exemple il Ă©tait une fois » qui se rĂ©pĂšte et oĂč se pose, d'une part, la premiĂšre symbolisation de la mĂšre articulant sa prĂ©sence et son corps et donc celui de l'enfant; et d'autre part, l'absence du pĂšre en ce pĂšre primordial, propre Ă  sa mort articulĂ©e prĂ©cisĂ©ment Ă  l’idĂ©alitĂ©, ce pour quoi il n'existe plus aucun au delĂ  c'est le dieu des philosophes, qui se situerait toujours au ciel, et pour Freud il est ramenĂ© sur la Terre, et il s'appelle le pĂšre primordial. Fonction radicalement autre, d'ĂȘtre lien disjonctif, particulier Ă  ce Un sĂ©parateur, signifiant de l'articulation signifiante comme identification participe Ă  la transmission d'Eros comme instinct, part d'immortalitĂ© de la libido, part du rapport entre vivant et , la libido est immortelle, puisque elle se transmet Ă  travers les gĂ©nĂ©rations, mais si la mĂ©diation de la parole de fils Ă  fils, de sujet Ă  sujet, c’est inscrire l'articulation signifiante comme possible, cela ne peut l'ĂȘtre que grĂące Ă  ce que Freud intitule “ repas totĂ©mique ”, un maximum de libido s’y dĂ©ploie sous la forme de la dĂ©voration du pĂšre primordial dit pĂšre de la Il me semble que la pulsion orale n'est lĂ  intĂ©ressĂ©e pour Freud que comme opĂ©rateur permettant la mise en place d'une mĂ©taphore, celle prĂ©cisĂ©ment de l'antĂ©cĂ©dence la plus antĂ©cĂ©dente qui soit. Ce serait lĂ  l’habillage qui convient au stade psychique le plus archaĂŻque l’oral
Car cette identification primordiale au pĂšre, nommĂ©e Einverleibung/incorporation par Freud est celle du d'ĂȘtre Ă  ĂȘtre . Elle est telle que nulle clinique ne peut la rendre perceptible, qu'elle n'est pas pulsionnelle. Elle Ă©voque le corps en morceau distribuĂ© sous la forme d'un lien d'amour au pĂšre, mais qui prĂ©cisĂ©ment occupe la place d'un signifiant, celui du lien premier au signifiant de l'articulation, signifiant qui ne produit aucun sujet, car nulle subjectivitĂ© ne peut en tĂ©moigner, de cette ouvre la nĂ©cessitĂ© de la topologie puisqu'elle procĂšde de la supposition comme telle d'un sujet d'avant toute question du sujet, comme autre lieu avec sa logique topo-logie, qui ouvre la question de l'ĂȘtre du sujet en tant que manque premier dans la parole, manque premier en rapport avec cette absence radicale du-pĂšre, au dĂ©part. Absence signifie sa mort par le meurtre symbolique comme l’indiquent les termes d’acting out et d’hĂ©ritage archaĂŻque. N'est-ce pas cela qui a pu faire parler de pessimisme ou d'athĂ©isme chez Freud?Le monothĂ©isme de son “ Moise » , ne signifie-t-il pas l'inexistence de Dieu, d'oĂč la nĂ©cessitĂ© de son Ă©criture sous la forme de ce Un sĂ©parateur, qui indique que s'il y en avait vraiment Un, alors chacun en aurait un et nous serions tous polythĂ©istes...La topologie permettrait-elle alors de faire procĂ©der la psychanalyse plus du cĂŽtĂ© de la science dont elle serait dans le cortĂšge, plutĂŽt que dans l'ordre du mythe ou de la religion?AdossĂ©e Ă  la religion elle marche avec la ainsi ne se dĂ©finirait-il pas comme la lieu d’une trace absente dont la marque absentifie la mort dans l’inconscient, la mort du pĂšre, et ce manque premier fonde cette trace mĂȘme .Absentiifie la mort dans l’ savoir qu'Ă  partir de cette identification toute primordiale et des deux autres trait unaire dans la dialectique phallique de l'avoir ou de l'ĂȘtre, et identification hystĂ©rique de dĂ©sir Ă  dĂ©sir s'agence la fonction phallique qui est l'assumation par le sujet iPrĂ©cisons cette1ere identification , c est la bĂ©ance du pĂšre primordial, trouthĂ©isme, qui lance la supposition de l'antĂ©cĂ©dence de cette toute premiĂšre identification au pĂšre incorporĂ©, frappĂ©e de son Ă©chancrure primordiale. Et qui va alors persister dans tout signifiant quel qu'il soit, une fois l'organisation du moi achevĂ©e. C'est cela que Jacques Lacan, selon moi, appelle sinthome par rapport au symptĂŽme, du fait de l'acte de nomination du symptĂŽme qui de morbide chez le nĂ©vrosĂ© devient indice de la proximitĂ© la plus proche du pur cristal cette antĂ©cĂ©dence, s’instaure le signifiant comme Ă©lĂ©ment constitutif du discours, du fantasme du sujet. C’est un acte de nomination de la structure pour un sujet singulier, voilĂ  la fonction du signifiant du nom du Ă  dire que par cette antĂ©cĂ©dence, il y aurait Ă©quivalence entre les sexes face Ă  ce point de bĂ©ance 1ere, point qui se transporte au niveau des autres identifications. Pour les quidam bonhommes et bonne femmes, le sinthome de l'homme va-t-il ĂȘtre “ la femme ” sans symĂ©trie du cotĂ© cotĂ© femme ce sinthome a des dĂ©mĂȘlĂ©s avec ce qui fait plutĂŽt “ ratage ”.Mon hypothĂšse est alors la suivante il y aurait une identification quatriĂšme formĂ©e de l'ensemble du nouage des trois identifications de Freud. Osons l'appeler identification Ă  la structure articulĂ©e Ă  ce manque premier oĂč le pĂšre primordial serait en opposition non symĂ©trique mais polaire au symptĂŽme. SymptĂŽme qui pour l'analyste devient sinthome et s'Ă©quivaut Ă  ce qui s’instaure comme fin d’une analyse et ouvre alors Ă  la pratique de la est de savoir que la pratique de l'analyse implique pour l'analyste, qu'il le veuille ou non, de se retrouver en position de complĂ©mentation non homogĂšne au symptĂŽme du nĂ©vrosĂ©. Savoir y faire avec son sinthome en fin de cure c’est savoir distinguer sinthome et structure, soit faire repĂ©rage du sinthome pour l’ reprends par cette identification premiĂšre au pĂšre idĂ©al mort qui initie les autres identifications, et les traverse, surgit le fait que tout signifiant vĂ©hiculera cette initiation premiĂšre Ă  ne pouvoir se signifier lui-mĂȘme, frappĂ© qu'il est de cette Ă©chancrure inaugurale. Ainsi le sujet va-t-il rĂ©pondre Ă  ce qui le marque par ce dont le signifiant si la pratique de la psychanalyse s'Ă©quivaut Ă  la pratique du sujet comme sujet de l'inconscient, il faut de l'analyste en fonction pour en repĂ©rer les effets. Mais cette perte initiale comme cause de l'inconscient n'est pas l'objet petit a, mais de l'ordre de l'apulsionnel, soit comme l'incorporation la fonction sinthome du pĂšre est apulsionnelle du fait du ratage dans la rĂ©pĂ©tition de la rencontre avec le rĂ©el. Ainsi comprenons-nous, une citation de Lacan “ le pĂšre en tant que pĂšre, c'est-a-dire nul ĂȘtre conscient SĂ©minaire Les fondements de la psychanalyse, p. 58. Ni inconscient donc
 ouktepapopaVoilĂ  comment il me semble pouvoir articuler la fonction du pĂšre Ă  la pratique de la psychanalyse, pratique Ă  repĂ©rer dans une dynamique, Ă  rĂ©inventer sans cesse car liĂ©e Ă  la fonction de l'imaginaire comme j'ai essayĂ© de le montrer avec la figure exenplifiĂ©e du pĂšre dans E. figure du pĂšre prĂ©cisĂ©ment comme facette du fantasme montre le non-rĂ©prĂ©setitable de la structure en cause dans la pratique et pourtant nĂ©cessite sa supposition, qui est celle du rĂ©el, rĂ©el qui par la pratique se trouve a des consĂ©quences au niveau de la pratique, soit de l'interprĂ©tation L'interprĂ©tation en effet s'articule Ă  ce point de rencontre entre symptĂŽme et pĂšre/sinthome, dĂ©finis plus elle implique de la part de l'analyste un silence, celui de ses pulsions, identique Ă  celui de l'incorporation du pĂšre, et qui produit une dĂ©sintrication des diffĂ©rents temps des circuits que l'analyste ne peut en aucune maniĂšre accorder de privilĂšge Ă  tel ou tel circuit pulsionnel plutĂŽt qu'Ă  un autre, ou Ă  tel ou tel objet petit a plutĂŽt qu'Ă  un autre, sinon au risque de grever la cure d'une maniĂšre est en effet en place de semblant d'objet petit a et non objet petit a proprement L’Homme aux loups », avec l'incident du brillant sur le nez, vision hallucinĂ©e d’une scĂšne originaire insrite au milieu de sa figure
. Vue dans le miroir comme celle de son pĂšre genre PopeyeCela renvoie Ă  l’acte de Freud vis Ă  vis de l’Homme aux Loups de porter l'interprĂ©tation sur la fin de la cure par une date anticipĂ©e Ă  la fin du processus lui-mĂȘme, sorte de scĂšne primitive placĂ©e dans le futur, en place de rĂ©-Ă©dition d'une scĂšne primitive supposĂ©e dans le 1923, l'Ă©pisode de la verrue sur le nez chez l'Homme aux loups cf. sa mĂšre revenant de Russie avec une tache sur son visage, le visage de Freud lui-mĂȘme malade Ă  cette date va se marquer par une insurrection de l'objet petit a montrant que Freud n'avait pu dĂ©signer le regard comme objet petit a malgrĂ© ses travaux, aussi bien sur la scĂšne primitive que sur les pulsions exhibitionnistes voyeuristes de sa MĂ©tapsychologie, en le fait que l'articulation pĂšre-sinthome n'a pas pu ĂȘtre inscrite car subissant la forclusion vient spĂ©cifier que Freud a privilĂ©giĂ©, malgrĂ© lui, un circuit pulsionnel, le regard, un objet, l'objet petit a comme regard, sans le lĂ  la confirmation que l'interprĂ©tation ne peut s'appuyer que sur cette articulation pĂšre-sinthome comme j'ai essayĂ© de la dĂ©finir. Or c'est cela qui n'a pu avoir lieu dans le cas de l'Homme aux savoir que la pratique s'Ă©quivaut Ă  l'inscription des conditions symboliques de la pratique qui sont inhĂ©rentes Ă  la position de la part du psychanalyste comme fonction d'ĂȘtre le lieu d'un silence des pulsions, silence Ă©quivalent Ă  celui de la structure pur cristal idĂ©al. La position est proprement liĂ©e Ă  la dĂ©sintrication des diffĂ©rents objets petit a ce que nous pourrions appeler incorporation de la fonction analyste l'interprĂ©tation vient-elle Ă  se distinguer de la symbolisation, de la nomination, distinction ici Ă  peine Ă©bauchĂ©e, et qui nĂ©cessite la passe soit , en particulier, une articulation de son analyse personnelle Ă  l'expĂ©rience de la pratique de la psychanalyse par l'analyste, soit celui qui en a l'exercice. La nomination analyste, par exemple, dĂ©passe sa fonction de dĂ©signation d’ĂȘtre un opĂ©rateur, mais rĂ©vĂšle que cet opĂ©rateur » est en place de signifiant produit par la pratique elle-mĂȘme, c’est un forçage symbolique, Ă©rigeant tel concept, tel mot, tel mouvement, etc... au rang de signifiant, soit ayant pour effet de placer sans cesse l'analyste face Ă  sa position de sujet de sa division, c’est la question persistante de la re-nomination de l'analyste du fait de sa pratique oĂč se dĂ©ploie sa fonction de “ ne s'autoriser que de lui-mĂȘme ».VoilĂ  pĂšre et pratique liĂ©s ? de l’un vers l’autre et vice versa ?Jean-Jacques Moscovitz[1] ExposĂ© Ă  Espace le mars 2014 , en coĂŻncidence avec la journĂ©e mondiale de la femme, [2] ce tete fait suite au travail sur l’EpopĂ©edu refeoulement originaire, Cf blog psychanalyse actuelle
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La semaine derniĂšre, j’ai mis une contribution sur le rĂŽle pĂšre-mĂšre, qui une fois Ă©crite m’a fait repenser qu’il y a d’autres visions de ce rĂŽle et qu’il est important pour ce faire une idĂ©e du sujet de le regarder sous diffĂ©rents angles. Voici donc une autre vue de ces rĂŽles de pĂšre et de mĂšre Ă  travers la psychanalyse. J’ai pris pour base deux articles que j’ai trouvĂ© suffisamment concis et clair dans un langage simple car comme vous je n’aime pas les langages compliquĂ©s accessibles uniquement aux personnes ayant une maĂźtrise en psychologie. Il faut bien diffĂ©rencier rĂŽle et fonction le rĂŽle dĂ©signe des comportements, des actes ou des attitudes conscientes, volontaires, concrĂštes, interchangeables et relatifs comme les tĂąches mĂ©nagĂšres ou de pourvoyeurs » 1 alors que La fonction est Ă  l’inverse des rĂŽles car celle-ci est inconsciente, psychologique non volontaire, unique, spĂ©cifique et absolue identitĂ© sexuĂ©e. Aucune mĂšre, malgrĂ© sa bonne volontĂ©, ne peut remplir la fonction paternelle ; elle ne peut remplir que » sa » fonction maternelle »1 Dans la rĂ©alitĂ©, la mĂšre se retrouve parfois Ă  remplir la fonction paternelle, j’en reparle Ă  la fin. Vous comprendrez donc Ă  la lecture de cette prĂ©cision linguistique que j’ai parlĂ© du rĂŽle pĂšre-mĂšre la semaine derniĂšre et que lĂ , il s’agit de parler de la fonction paternelle et la fonction maternelle. J’ai fait le choix de prendre la vision de Winnicott qui a une approche positive de la mĂšre contrairement Ă  Freud. Winnicott Ă©tait pĂ©diatre avant d’ĂȘtre psychanalyse ceci explique peut ĂȘtre sa vision. Concernant la mĂšre, Au tout dĂ©but, le nouveau-nĂ© est dans une situation de dĂ©pendance absolue vis-Ă -vis de l’entourage. » 2 L’entourage est souvent la mĂšre en premier lieu, ou ce qu’il nomme son substitut, c’est Ă  dire la personne qui sera prĂ©sente pour s’occuper du nouveau-nĂ©. La mĂšre y rĂ©pond par la prĂ©occupation maternelle primaire, c’est-Ă -dire une capacitĂ© Ă  s’identifier Ă  l’enfant pour le comprendre. Au cours de cette pĂ©riode, elle est littĂ©ralement en rĂ©sonance avec les besoins du bĂ©bĂ©. Elle Ă©prouve une irrĂ©pressible nĂ©cessitĂ© de les satisfaire. La dĂ©tresse de son enfant lui est intolĂ©rable. Le nourrisson et sa mĂšre forment une dyade. »2 C’est ce que certaines personnes appellent l’instinct maternel » cette capacitĂ© Ă  ĂȘtre en rĂ©sonance totale avec les besoins du bĂ©bĂ© et y rĂ©pondre instantanĂ©ment parfois mĂȘme juste avant qu’il ne soit exprimĂ©. Ceci est vrai dans le cas de l’allaitement oĂč les mĂšres peuvent parfois sentir la montĂ©e de lait, se rĂ©veiller juste avant que le bĂ©bĂ© ne se rĂ©veille. La fonction maternelle est d’abord une fonction de matrice, de source nourriciĂšre, d’enveloppe, de rĂ©ceptacle de vie, de rĂ©tention. La mĂšre reprĂ©sente l’abri, la sĂ©curitĂ©, la protection, la chaleur, l’affection, la fusion, la comprĂ©hension La mĂšre reprĂ©sente l’amour. »1 Pour Winnicott, il y a trois fonctions maternelles indispensables au bon dĂ©veloppement de l’enfant la prĂ©sentation de l’objet c’est le fait d’ĂȘtre prĂ©sente, la mĂšre est lĂ  tout le temps pour l’enfant le fait de tenir, de contenir c’est le fait de donner des repĂšres simples et stables, c’est aider l’enfant Ă  comprendre ce qu’il ressent faim, soif, besoin d’ĂȘtre changĂ©.. la manipulation physique du bĂ©bĂ© les soins lui permettent de prendre conscience qu’il a un limite corporelle, une tĂȘte, un tronc avec un ventre, des bras, des jambes
 Je m’en tiens Ă  l’utilisation du dĂ©but de l’article, le reste Ă©tant plus technique et n’apporte pas d’informations complĂ©mentaires sur le rĂŽle de la mĂšre. VoilĂ  donc rĂ©sumĂ© trĂšs rapidement le rĂŽle de la mĂšre auprĂšs de l’enfant selon la vision de Winnicott. La transition vers le rĂŽle du pĂšre est simple schĂ©matiquement, elle rĂ©conforte, lui stimule. Il est intĂ©ressant de noter que la naissance de la fonction maternelle est d’ordre biologique la grossesse alors que celle du pĂšre est un processus symbolique liĂ© Ă  l’environnement. En effet, il y a des hommes pour qui ĂȘtre pĂšre est trĂšs abstrait, ils vivent la grossesse de loin sans comprendre trop ce qui se passe mĂȘme si le mental est lĂ  et l’entourage pour lui dire c’est chouette tu vas ĂȘtre papa ! » ils ne comprennent pas trop ce qui arrive. La fonction du pĂšre en est une de sĂ©paration, d’expulsion du sein maternel, de distinction, de diffĂ©renciation. Le pĂšre doit Ă©duquer ses enfants dans le sens Ă©tymologique du mot » educare » faire sortir, tirer dehors, conduire au-dehors avec soin. »1 J’appuie particuliĂšrement sur le conduire au-dehors avec soin » Cette notion de soin est importante pour la suite de ce qu’est la fonction paternelle selon la psychanalyse. En effet, La fonction du pĂšre est de sĂ©parer l’enfant de la mĂšre. Il doit s’interposer entre la mĂšre et l’enfant pour permettre Ă  l’enfant de dĂ©velopper son identitĂ© en dehors de la symbiose maternelle et rappeler Ă  la mĂšre qu’elle est aussi une femme, une amante, un ĂȘtre de plaisir, non seulement un ĂȘtre de devoir gĂ©nĂ©reux. Si la mĂšre reprĂ©sente l’amour fusionnel, le pĂšre reprĂ©sente les limites, les frontiĂšres, la sĂ©paration psychologique »1 ceci doit ĂȘtre fait avec grand soin et douceur ! Il est aucunement question de sevrer l’enfant pour que le pĂšre rĂ©cupĂšre sa femme comme prĂ©conisĂ© par certaines personnes vous voyez de qui je parle. Yvon Dallaire retranscrit 5 fonctions paternelles La protection protĂ©ger les siens et donc pour ce faire ĂȘtre prĂ©sent physiquement et psychologiquement L’éducation Le pĂšre doit faciliter Ă  ses enfants l’apprentissage du contrĂŽle de soi »1 L’initiation initier l’enfant aux rĂšgles de la sociĂ©tĂ© pour vivre avec les autres La sĂ©paration sĂ©parer la mĂšre de l’enfant et l’enfant de la mĂšre pour que l’un et l’autre puisse s’épanouir ; la mĂšre en tant que femme et l’enfant en tant qu’adulte La filiation pour que l’enfant sache qui est son pĂšre et qu’il puisse s’inscrire dans une lignĂ©e. On comprendra Ă  la lecture de cet article 1 que la fonction paternelle a Ă©tĂ© bien bousculĂ© ces derniĂšres annĂ©es. Les mĂšres ont pris une partie de ces fonctions par les rĂŽles qu’elles ont jouĂ©, peut ĂȘtre parce que les hommes des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes avaient oubliĂ© que leur fonction doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e avec soin » et non autoritarisme ». Marie-Christine Eustache 1 par Yvon Dallaire 2 3NaCGB.
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