Selonla foi chrétienne, affirmer une résurrection du corps, c'est maintenir une forme de continuité à travers la discontinuité radicale entre corps mortel et corps ressuscité. Cette continuité concerne le corps humain en tant qu'il est humain, en tant qu'il a été inséparable de notre condition humaine et qu'il est la récapitulation de toute une histoire et l'expression d'une
Emmanuel Kant, philosophe allemand, s'est posĂ© trois questions, auxquelles l'ensemble de sa philosophie s’est efforcĂ©e de rĂ©pondre Que puis-je connaĂźtre ? question Ă  laquelle il rĂ©pond dans la Critique de la raison pure Que dois-je faire ? Ă  laquelle il rĂ©pond dans la Critique de la raison pratique et dans La mĂ©taphysique des moeurs Que m’est-il permis d’espĂ©rer ? Ă  laquelle il rĂ©pond dans plusieurs oeuvres, notamment La religion dans les simples limites de la religion Temps de lecture de ce cours 10 minutes environ Kant et la philosophie de la connaissance Table des MatiĂšres1 Kant et la philosophie de la connaissance 2 Kant, une morale du devoir 3 Kant et la religion La thĂšse de l'espĂ©rance et du rĂšgne des fins4 Kant et la philosophie esthĂ©tique 1. Une critique de la raison Que puis-je connaĂźtre ? Pour rĂ©pondre Ă  cette question, Kant opĂšre un examen critique de la raison, dĂ©terminant ce qu’elle peut faire et ce qu’elle est incapable de faire. La Raison, au sens large, dĂ©signe, chez Kant, tout ce qui, dans la pensĂ©e, est a priori et ne vient pas de l’expĂ©rience. – Elle est thĂ©orique raison pure ou spĂ©culative lorsqu’elle concerne la connaissance. – Elle est pratique raison pratique lorsqu’elle est considĂ©rĂ©e comme contenant la rĂšgle de la moralitĂ© cette Raison, au sens large, se distingue, chez Kant, de la Raison, au sens Ă©troit du terme, comme facultĂ© humaine visant Ă  la plus haute unitĂ©. Kant, ici opĂšre une critique de la raison spĂ©culative il ne s’agit pas d’une critique sceptique, mais d’un examen concernant l’usage, l’étendue et les limites de la raison. Pratiquant cette dĂ©marche, Kant remarque que la mathĂ©matique et la physique entrĂšrent dans la route sĂ»re de la science le jour oĂč elles cessĂšrent d’ĂȘtre empiriques pour reconnaĂźtre la primautĂ© de la dĂ©monstration rationnelle. – La mĂ©taphysique devrait s’inspirer de cette mĂ©thode si fĂ©conde. – Ici prend place la fameuse notion de rĂ©volution copernicienne de mĂȘme que Copernic a supposĂ© que la Terre tournait autour du Soleil et non l’inverse, de mĂȘme Kant admet que c’est notre facultĂ© de connaĂźtre qui organise la connaissance, et non pas les objets qui la dĂ©terminent. 2. Espace, temps et catĂ©gories C’est dire que nous ne pouvons apprĂ©hender le monde qu’à travers des Ă©lĂ©ments a priori. – Ce terme a priori » dĂ©signe, ici, ce qui est indĂ©pendant de l’expĂ©rience. – Ainsi, l’espace et le temps sont-ils antĂ©rieurs Ă  l’expĂ©rience ce sont des formes a priori de la sensibilitĂ©, c’est-Ă -dire des structures intuitives issues du sujet et permettant d’ordonner les objets hors de nous et en nous. Mais ce n’est pas tout et, Ă  un deuxiĂšme niveau d’organisation, conceptuel cette fois-ci, les objets doivent ĂȘtre pensĂ©s, organisĂ©s intellectuellement par l’entendement, facultĂ© reliant les sensations grĂące Ă  des catĂ©gories, ou concepts purs, instruments permettant d’unifier le sensible – UnitĂ©, PluralitĂ©, TotalitĂ© catĂ©gories de la quantitĂ© – RĂ©alitĂ©, NĂ©gation, Limitation catĂ©gories de la qualitĂ© – Substance et accident, CausalitĂ© et dĂ©pendance, CommunautĂ© catĂ©gories de la relation – PossibilitĂ©, ImpossibilitĂ©, Existence, Non-existence, NĂ©cessitĂ©, Contingence catĂ©gories de la modalitĂ©. 3. Un point de vue transcendantal Cette analyse est conduite d’un point de vue transcendantal elle porte, non pas sur les objets eux-mĂȘmes, mais sur la maniĂšre de les connaĂźtre et de les saisir, sur les Ă©lĂ©ments a priori et sur les concepts constitutifs de l’expĂ©rience. Temps, espace et catĂ©gories concernent, en effet, les conditions a priori de la connaissance et le mode d’apprĂ©hension des objets. Sans eux, aucune connaissance ne serait possible. Distinguons ici l’esthĂ©tique transcendantale, qui dĂ©signe, chez Kant, l’étude des formes a priori de la sensibilitĂ© que sont l’espace et le temps, et la logique transcendantale, Ă©tude des formes de l’entendement, en tant qu’elles sont a priori. – La logique elle-mĂȘme se divise en une analytique, qui dresse la table des concepts purs et des principes, et en une dialectique. 4. PhĂ©nomĂšnes et noumĂšnes Les consĂ©quences de ces analyses apparaissent dĂ©cisives si le seul point de vue possible est transcendantal, s’il porte sur les conditions a priori du savoir, il en rĂ©sulte que les choses telles qu’elles sont en soi, c’est-Ă -dire indĂ©pendamment de la connaissance que nous pouvons en avoir, ne peuvent ĂȘtre apprĂ©hendĂ©es. Que puis-je, en effet, saisir ? – Ce qui s’offre Ă  mon champ perceptif dans le cadre des formes pures de la sensibilitĂ© l’espace et e temps et dans le cadre des catĂ©gories le domaine des phĂ©nomĂšnes. – La notion de phĂ©nomĂšne dĂ©signe, en effet, pour Kant, tout objet d’expĂ©rience possible, c’est-Ă -dire ce que les choses sot pour nous, relativement Ă  notre mode de connaissance, par opposition au noumĂšne, la chose en soi, que l’esprit peut, certes, penser, mais non pas connaĂźtre. – Ainsi Dieu est un noumĂšne, une rĂ©alitĂ© possible, mais que nous ne pouvons atteindre. 5. Les idĂ©es de la raison L’homme, loin de se contenter d’accĂ©der aux phĂ©nomĂšnes grĂące aux catĂ©gories de l’entendement, Ă©labore les IdĂ©es de la raison prise ici au sens Ă©troit du terme, comme facultĂ© exigeant la plus haute unitĂ©. Ces IdĂ©es de la raison sont des concepts auxquels ne correspond aucun objet donnĂ© par les sens comme l’IdĂ©e de l’Ame ou celle de Dieu. – Si l’IdĂ©e de la raison possĂšde un usage rĂ©gulateur et permet d’unifier notre expĂ©rience, nĂ©anmoins elle est inconnaissable et ne peut ĂȘtre saisie intuitivement. Kant Ă©tudie les IdĂ©es de la raison Ăąme, Dieu, libertĂ© dans une partie importante de la Critique de la raison pure, partie nommĂ©e Dialectique transcendantale elle dĂ©signe une critique dĂ©voilant la trompeuse apparence des prĂ©tentions de la raison quand elle s’efforce de quitter le terrain de l’expĂ©rience pour aborder la sphĂšre de la pensĂ©e pure, se croyant Ă  tort indĂ©pendante du domaine phĂ©nomĂ©nal et empirique. Kant, une morale du devoir Il faut, maintenant, rĂ©pondre Ă  la question “Que dois-je faire ?” – La rĂ©ponse de Kant est, ici, sans Ă©quivoque le devoir est uniquement le devoir. – Que faut-il entendre par ce terme, le devoir ? â–ș Pour en comprendre la signification, tournons-nous d’abord vers la notion de bonne volontĂ©. â–ș Dans les Fondements de la mĂ©taphysique des mƓurs, Kant rĂ©alise, en effet, l’analyse de la conscience morale commune et il note que, de tout ce qu’il est possible de concevoir en ce monde, il n’est rien qui puisse ĂȘtre regardĂ©, sans restriction, comme bon absolument, si ce n’est une bonne volontĂ©, c’est-Ă -dire une intention absolument pure, bonne sans restriction. – Qu’est-elle exactement et Ă  quoi se ramĂšne-t-elle ? â–ș Une volontĂ© pure, bonne en elle-mĂȘme, dĂ©signe une volontĂ© de faire le bien, non par inclinaison sensible, mais par devoir. La bonne volontĂ© nous renvoie ainsi Ă  l’idĂ©e de devoir, Ă  l’impĂ©ratif catĂ©gorique, et non pas hypothĂ©tique. – Un impĂ©ratif est hypothĂ©tique lorsque le commandement Ă©noncĂ© est subordonnĂ© Ă  une hypothĂšse ou Ă  une condition ex si tu veux rĂ©ussi, travaille ! – Il est catĂ©gorique lorsqu’il ordonne sans condition, lorsqu’il vaut, en lui-mĂȘme, indĂ©pendamment de toute hypothĂšse et de toute condition ex travaille !. – Dans le premier cas, l’action est un moyen pour un rĂ©sultat. Dans le second, l’action est bonne en elle-mĂȘme tel est le devoir. Quelle est la formule fondamentale du devoir ? – Il Ă©nonce l’universalitĂ© de la loi. – Il affirme simplement une loi universelle, un prĂ©cepte prĂ©sentant un caractĂšre obligatoire et commandant Ă  tous, sans restriction. â–ș Agis uniquement d’aprĂšs la maxime qui fait que tu peux vouloir en mĂȘme temps qu’elle devienne une loi universelle ». â–ș La seconde formule du devoir a trait, quant Ă  elle, au respect de la Personne, de l’ĂȘtre raisonnable, fin en soi possĂ©dant une valeur absolue. â–ș Alors que les choses sont des moyens, les personnes sont des fins en soi. â–ș Sous son second aspect, l’impĂ©ratif pratique se dĂ©finit par le respect de la personne, du sujet humain, qui ne doit, en aucun cas, ĂȘtre traitĂ© comme moyen. La volontĂ© obĂ©issant au devoir est, enfin, une volontĂ© autonome, trouvant en elle-mĂȘme sa loi. – Tel est, chez Kant, le principe de l’autonomie de la volontĂ©, propriĂ©tĂ© qu’a cette derniĂšre de se donner Ă  elle-mĂȘme sa lĂ©gislation. – Alors que l’hĂ©tĂ©ronomie dĂ©signe l’obĂ©issance Ă  une loi n’émanant pas de la volontĂ©, l’autonomie est le fait d’obĂ©ir Ă  sa propre loi. Nous pouvons maintenant donner une dĂ©finition plus complĂšte et synthĂ©tique du devoir il dĂ©signe l’obligation morale autonome, la nĂ©cessitĂ© d’accomplir une action par respect pour la loi universelle, l’impĂ©ratif ordonnant sans condition – Tel est le concept de devoir, central dans la philosophie de Kant. Quant au bonheur, il se s'atteint pas, on s'en rend digne. Kant et la religion La thĂšse de l'espĂ©rance et du rĂšgne des fins Il nous reste, maintenant, Ă  rĂ©pondre Ă  la troisiĂšme question Que puis-je espĂ©rer ? » domaine de la religion – Et cette question concerne l’espĂ©rance religieuse. – Or, Kant souligne ici, que Dieu, la libertĂ© et l’immortalitĂ©, loin d’ĂȘtre dĂ©montrable sont des postulats, des hypothĂšses exigĂ©es par la raison pratique. – Pour Kant, l’espĂ©rance d’une autre vie aprĂšs la mort et d’un Dieu justicier, se rattache, en effet, Ă  une exigence pratique. Je postule Dieu, la libertĂ© et l’immortalitĂ© il s’agit ici de croyances rationnellement fondĂ©es, posĂ©es par un acte de foi. – J’ai besoin de ces postulats pour agir moralement. Kant et la philosophie esthĂ©tique La premiĂšre critique de Kant porte sur la connaissance, la seconde sur la moralitĂ©, la troisiĂšme, sur l’esthĂ©tique. Le beau est, ici, analysĂ© dans sa relation au sujet humain. Qu’est-ce que le goĂ»t ? – La facultĂ© de juger d’un objet ou d’une reprĂ©sentation par une satisfaction dĂ©gagĂ©e de tout intĂ©rĂȘt est beau, ce qui plait universellement sans concept » – Alors que l’agrĂ©able nous charme, le beau nous entraĂźne loin de toute inclination empirique. – L’universalitĂ© du beau permet de distinguer fondamentalement ce qui plait aux sens dans la sensation du beau en tant que tel. – Kant distingue aussi le beau du sublime le beau peut ĂȘtre apprĂ©hendĂ©, alors que le sublime dĂ©signe ce qui nous dĂ©passe, ce qui est infini. Dans tous les domaines, Kant nous renvoie Ă  l’autonomie et Ă  la libertĂ© humaine. L’homme, sujet de la connaissance, est aussi agent moral autonome et auteur d’un jugement de goĂ»t dĂ©sintĂ©ressĂ© et universel. Politiquement, l'homme doit agir moralement et sortir les Etats de leur Ă©tat de guerre permanent. Le projet de Kant pourrait se rĂ©sumer ainsi arracher l’homme Ă  sa nature – Sa nature mĂ©taphysique il a redonnĂ© Ă  la raison ses limites, mais a en mĂȘme temps ennoblie la raison humaine. – Sa nature morale arracher l’homme a ses passions primaires l’égoĂŻsme et l’intĂ©rĂȘt particulier – Sa nature esthĂ©tique libĂ©rer des sens, l’homme doit acquĂ©rir la facultĂ© de juger le beau. – Sa nature politique sortir les Etats de leur Ă©tat de nature qui les porterait Ă  l’anĂ©antissement mutuel pour fonder un projet de paix perpĂ©tuelle. Oeuvres de Kant Critique de la raison pure 1Ăšre Ă©dition, 1781 ; 2Ăšme Ă©dition, 1787 ProlĂ©gomĂšnes Ă  toute mĂ©taphysique future qui voudra se prĂ©senter comme science 1783 Fondements de la mĂ©taphysique des mƓurs 1785 Critique de la raison pratique 1788 Critique du jugement 1790 Anthropologie du point de vue pragmatique 1798. Pour aller plus loin sur la philosophie de Kant Critique de la raison pure Critique de la raison pratique Critique du jugement Le projet de paix perpĂ©tuelle La morale de Kant La mĂ©taphysique de Kant Kant et le bonheur Citations de Kant Qu'est-ce que les LumiĂšres chez Kant Kant et la religion La paix chez Kant
Lamort est du domaine de la foi. Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir, bien sĂ»r. Ca vous soutient ! Si vous n’y croyez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous Au niveau 1, un clerc gagne la capacitĂ© Domaine divin. Voici de nouvelles options de domaines Domaine de la tombe Domaine de la protection Domaine de l'ordre Domaine de la forge Domaine du crĂ©puscule Domaine de l'union Domaine de la tombeLes dieux de la tombe veillent sur la frontiĂšre entre la vie et la mort. Pour ces dĂ©itĂ©s, la mort et l'au-delĂ  sont une partie fondamentale du multivers. Pour eux, rĂ©sister Ă  la mort ou dĂ©ranger le repos des morts est une abomination. Les dieux de la tombe incluent KĂ©lemvor, Wee Jas, les esprits ancestraux de la cour d'Outre-Mort, HadĂšs, Anubis et Osiris. Ces dieux enseignent Ă  leurs serviteurs Ă  respecter les morts et Ă  leur rendre hommage. Les fidĂšles de ces dieux aident les esprits tourmentĂ©s Ă  trouver le repos. Ils dĂ©truisent les morts-vivants oĂč qu'ils les trouvent, et apaisent les souffrances des crĂ©atures mourantes. Leur magie leur permet de sauver une crĂ©ature de la mort, mais ils refusent d'utiliser celle-ci pour allonger la vie d'une crĂ©ature au-delĂ  de ses limites de domaine Niveaude clerc Sorts 1 flĂ©au, simulacre de vie 3 prĂ©servation des morts, rayon d'affaiblissement 5 retour Ă  la vie, toucher du vampire 7 flĂ©trissement, protection contre la mort 9 coquille antivie, rappel Ă  la vie MaĂźtrise supplĂ©mentaireAu niveau 1, vous gagnez la maĂźtrise des armures de la mortAu niveau 1, vous gagnez la capacitĂ© de modifier la ligne entre la vie et la mort. Lorsque vous lancez un sort qui redonne des points de vie Ă  une crĂ©ature qui est Ă  0 pv, traitez n'importe quel dĂ© lancĂ© pour dĂ©terminer la quantitĂ© de soins comme s'il avait donnĂ© le rĂ©sultat maximum. De plus, si vous possĂ©dez le sort mineur stabilisation, vous pouvez le lancer en tant qu'action de la tombeÀ partir du niveau 1, vous gagnez un sens innĂ© des crĂ©atures dont l’existence est une insulte au cycle naturel de la vie. Si vous passez 1 minute en contemplation ininterrompue, vous pouvez dĂ©terminer la prĂ©sence et la nature de crĂ©atures morts-vivantes dans la zone. Cette dĂ©tection s'Ă©tend jusqu'Ă  1,5 kilomĂštre dans toutes les directions. Vous apprenez le nombre de morts-vivants, leur distance et la direction dans laquelle ils se trouvent par rapport Ă  vous. De plus, vous connaissez le type de la crĂ©ature morte-vivante ayant le plus grand facteur de difficultĂ©. Une fois que vous avez utilisĂ© cette capacitĂ©, vous devez terminer un repos long avant de pouvoir l'utiliser Ă  divin chemin de la tombeÀ partir du niveau 2, vous pouvez utiliser votre Conduit divin pour marquer la force vitale d'une autre crĂ©ature. Par une action, vous touchez une crĂ©ature. La prochaine fois que cette crĂ©ature prend des dĂ©gĂąts venant d'un sort ou d'une attaque de votre part ou de celle d'un de vos alliĂ©s, elle sera vulnĂ©rable au type de dĂ©gĂąts de ce sort ou de cette attaque. Si la source des dĂ©gĂąts est de plusieurs types, la crĂ©ature est vulnĂ©rable Ă  tous ces types de dĂ©gĂąts. La vulnĂ©rabilitĂ© s'applique seulement la premiĂšre fois que cette source inflige des dĂ©gĂąts et prend fin immĂ©diatement aprĂšs. Si une crĂ©ature Ă©tait rĂ©sistante ou immunisĂ©e Ă  ce type de dĂ©gĂąts, elle ne devient pas vulnĂ©rable mais perd, pour cette fois, cette immunitĂ© ou cette rĂ©sistance aux sentinelle aux portes de la mortÀ partir du niveau 6, vous gagnez la capacitĂ© de ralentir la mort. Par une rĂ©action, lorsque vous, ou un alliĂ© que vous pouvez voir dans un rayon de 9 mĂštres autour de vous, recevez un coup critique, vous pouvez transformer cette attaque en un coup normal. Tout effet dĂ©clenchĂ© par un coup critique est annulĂ©. Une fois que vous avez utilisez cette capacitĂ©, vous ne pouvez plus le faire jusqu'Ă  ce que vous ayez terminĂ© un repos court ou divineAu niveau 8, vous gagnez la capacitĂ© d'imprĂ©gner votre arme d'Ă©nergie divine. Une fois Ă  chacun de vos tours, lorsque vous touchez une crĂ©ature avec une arme, vous pouvez ajouter 1d8 de dĂ©gĂąts nĂ©crotiques. Lorsque vous atteignez le niveau 14, les dĂ©gĂąts supplĂ©mentaires augmentent Ă  des ĂąmesAu niveau 17, vous gagnez la capacitĂ© de manipuler la frontiĂšre entre la vie et la mort. Lorsqu'un ennemi que vous pouvez voir dans un rayon de 9 mĂštres autour de vous meurt, vous, ou un alliĂ© de votre choix situĂ© 9 mĂštres ou moins de vous, regagnez un nombre de points de vie Ă©gal au nombre de dĂ©s de vie de cet ennemi. Vous pouvez utiliser cette capacitĂ© tant que vous n'ĂȘtes pas incapable d'agir, mais jamais plus d'une fois par de la protectionLe domaine de la protection est la compĂ©tence des divinitĂ©s qui chargent leurs disciples de protĂ©ger les faibles des forts. Les fidĂšles de ces dieux habitent dans les villages et les villes des rĂ©gions frontaliĂšres, oĂč ils aident Ă  renforcer les dĂ©fenses et rechercher les ĂȘtres malĂ©fiques pour les affronter. Ces dieux croient qu'un bouclier robuste et une armure complĂšte sont la meilleure dĂ©fense contre le mal, avec seulement une grosse masse en main pour rĂ©pondre aux attaques. Les divinitĂ©s qui accordent ce domaine incluent Heaume, Ilmater, Torm, Tyr, Heironeous, St. Cuthbert, Paladine, Dol Dorn, Silver Flame, Bahamut, Yondalla, Athena et de domaine Niveaude clerc Sorts 1 duel forcĂ©, protection contre le mal et le bien 3 aide, protection contre le poison 5 lenteur, protection contre une Ă©nergie 7 gardien de la foi, sphĂšre rĂ©siliente d'Otiluke 9 coquille antivie, mur de force MaĂźtrise supplĂ©mentaireAu niveau 1, vous gagnez la maĂźtrise des armures des fidĂšlesÀ partir du niveau 1, vous gagnez la capacitĂ© d'entraver les attaques destinĂ©es Ă  d'autres. Quand une crĂ©ature attaque une cible autre que vous mais situĂ©e dans un rayon de 1,50 mĂštre autour de vous, vous pouvez utiliser votre rĂ©action pour imposer un dĂ©savantage Ă  son jet d'attaque. Pour ce faire, vous devez ĂȘtre en mesure de voir Ă  la fois l'attaquant et la cible. Vous interposez un bras, un bouclier, ou une autre partie de vous-mĂȘme pour tenter de parer l' divin dĂ©fense radianteÀ partir du niveau 2, vous pouvez utiliser votre Conduit divin pour recouvrir vos alliĂ©s d'une armure radieuse. Par une action, vous canalisez l'Ă©nergie bĂ©nie sur un alliĂ© que vous pouvez voir et qui se situe Ă  9 mĂštres ou moins de vous. La premiĂšre fois qu'un alliĂ© est touchĂ© par une attaque dans la minute suivante, l'attaquant subit des dĂ©gĂąts rayonnants Ă©gaux Ă  2d10 + votre niveau de bĂ©niÀ partir du niveau 6, les sorts de guĂ©rison que vous lancez sur les autres peuvent vous guĂ©rir aussi. Lorsque vous lancez un sort en utilisant un emplacement de sort et qu'il restaure des points de vie Ă  toute crĂ©ature autre que vous durant ce tour, vous rĂ©cupĂ©rez un nombre de points de vie Ă©gal Ă  2 + le niveau du divineAu niveau 8, vous gagnez la capacitĂ© d'imprĂ©gner votre arme d'Ă©nergie divine. Une fois Ă  chacun de vos tours lorsque vous touchez une crĂ©ature avec une arme, vous pouvez faire en sorte que l'attaque inflige 1d8 dĂ©gĂąts radiants supplĂ©mentaires Ă  la cible. Lorsque vous atteignez le niveau 14, les dĂ©gĂąts supplĂ©mentaires augmentent Ă  indomptableAu niveau 17, vous gagnez la rĂ©sistance Ă  deux types de dĂ©gĂąts de votre choix, en choisissant parmi contondant, nĂ©crotique, perforant, radiant et tranchant. Chaque fois que vous terminez un repos court ou long, vous pouvez changer les types de dĂ©gĂąts que vous avez choisis. Par une action, vous pouvez abandonner temporairement cette rĂ©sistance et la transfĂ©rer Ă  une crĂ©ature que vous touchez. La crĂ©ature garde la rĂ©sistance jusqu'Ă  la fin de votre prochain repos court ou long, ou jusqu'Ă  ce que vous la transfĂ©riez Ă  vous-mĂȘme par une action de l'ordreLe domaine de l'ordre reprĂ©sente la discipline ou le fait d’ĂȘtre au service d’une institution ou d'une sociĂ©tĂ©, mais toujours dans le cadre de la loi ou dans le but de la faire respecter, qu’il s’agisse de la loi civile, religieuse, ou des deux Ă  la fois. Les dieux de nombreux mondes permettent d’accĂ©der Ă  ce domaine, comme Baine, Tyr, Majere, Érathis, Pholtus, Wy-Djaz, AurĂ©on, Maglubiyet, Nuada, AthĂ©na, Anubis, Forseti, et AsmodĂ©e. L’idĂ©al de l'ordre correspond Ă  l’obĂ©issance Ă  la loi en toutes circonstances plutĂŽt qu’à l’obĂ©issance Ă  un individu particulier, aux Ă©motions qui nous traversent, ou aux rĂšgles populaires traditionnelles. Les clercs de l’ordre s’intĂ©ressent plus Ă  la maniĂšre dont une action est rĂ©alisĂ©e qu’au fait que le rĂ©sultat de cette action soit juste ou non. Suivre la loi et obĂ©ir Ă  ses dĂ©crets sont essentiels, en particulier lorsque cela bĂ©nĂ©ficie Ă  ces clercs et Ă  leur divinitĂ©. Plus important encore, la loi Ă©tablit une hiĂ©rarchie. Ceux qui sont dĂ©signĂ©s par la loi pour diriger doivent ĂȘtre obĂ©is. Ceux qui sont Ă  leur service doivent leur obĂ©ir au mieux de leurs capacitĂ©s. De cette maniĂšre la loi met en place un dense rĂ©seau d’obligations dont dĂ©coulent l’ordre et la sĂ©curitĂ©, alliage fondamental de toute sociĂ©tĂ© dans le chaos du de domaine Niveaude clerc Sorts 1 injonction, hĂ©roĂŻsme 3 amĂ©lioration de caractĂ©ristique, immobilisation de personne 5 mot de guĂ©rison de groupe, lenteur 7 compulsion, localisation de crĂ©ature 9 communion, domination de personne MaĂźtrise supplĂ©mentaireAu niveau 1, vous gagnez la maĂźtrise des armures d’autoritéÀ partir du niveau 1, vous pouvez faire appel au pouvoir de la loi pour inciter un alliĂ© Ă  attaquer. ImmĂ©diatement aprĂšs que vous ayez lancĂ© un sort utilisant un emplacement de niveau 1 ou supĂ©rieur sur un alliĂ©, cet alliĂ© peut utiliser sa rĂ©action pour effectuer un jet d’attaque avec une arme contre une cible de votre choix que vous pouvez voir. Si le sort cible plus d’un seul alliĂ©, vous choisissez l’alliĂ© qui effectue l’ divin besoin d’ordreÀ partir du niveau 2, vous pouvez utiliser votre Conduit divin pour faire ressentir votre prĂ©sence intimidante aux autres. En utilisant une action, vous brandissez votre symbole sacrĂ©, et chaque crĂ©ature de votre choix qui peut vous voir ou vous entendre dans un rayon de 9 mĂštres autour de vous doit rĂ©ussir un jet de sauvegarde de Sagesse sous peine d’ĂȘtre charmĂ©e jusqu’à la fin de votre prochain tour ou jusqu’à ce qu’elle subisse des dĂ©gĂąts. Vous pouvez Ă©galement dĂ©cider qu’une crĂ©ature charmĂ©e tombe Ă  terre si elle rate son jet de de l’ordreAu niveau 6, votre capacitĂ© Ă  manier l’énergie divine pour contraindre les autres s’est formidablement amĂ©liorĂ©e. Lorsque vous lancez un sort de l’école d’enchantement en utilisant un emplacement de sort de niveau 2 ou supĂ©rieur, vous rĂ©cupĂ©rez un emplacement de sort dĂ©pensĂ©. L’emplacement de sort que vous rĂ©cupĂ©rez doit ĂȘtre d’un niveau infĂ©rieur Ă  celui du sort que vous venez de lancer et ne peut pas ĂȘtre supĂ©rieur au niveau divineAu niveau 8, vous obtenez la capacitĂ© d’imprĂ©gner votre arme d’énergie divine. Une fois Ă  chacun de vos tours lorsque vous touchez une crĂ©ature lors d’une attaque avec une arme, vous pouvez dĂ©cider que cette attaque inflige 1d8 dĂ©gĂąts de force supplĂ©mentaire Ă  cette cible. Lorsque vous atteignez le niveau 14, les dĂ©gĂąts supplĂ©mentaires passent Ă  de l’ordreÀ partir du niveau 17, les ennemis que vous condamnez Ă  la destruction succombent sous les efforts combinĂ©s de vos alliĂ©s et de vous-mĂȘme. Si vous infligez les dĂ©gĂąts de votre Frappe divine Ă  une crĂ©ature, cette crĂ©ature subit 2d8 dĂ©gĂąts de force supplĂ©mentaires la premiĂšre fois de chaque tour qu’un de vos alliĂ©s la touche lors d’une attaque avec une arme. Cet effet dure jusqu’au dĂ©but de votre prochain de la forge[ Cet archĂ©type a ensuite Ă©tĂ© publiĂ© dans sa version finale dans le Xanathar's Guide to Everything ]Domaine du crĂ©pusculeLe domaine du crĂ©puscule rĂ©git la transition et la fusion de la lumiĂšre dans l'obscuritĂ©. C’est une pĂ©riode de repos et de confort, mais aussi un seuil entre la sĂ©curitĂ© et l'inconnu. Des dieux de guĂ©rison ou de rĂ©pit comme Boldrei, Hestia, Mishakal ou PĂ©lor, de la bravoure ou de la protection comme Dol Arrah, Hajama, Heaume ou Ilmater, des voyages ou de la transition comme Fharlanghn, Hermes, la Reine corneille ou le Voyageur, ou de la nuit et des rĂȘves comme CĂ©lestian, MorphĂ©e, Nut ou SĂ©lunĂ© peuvent confĂ©rer le domaine du crĂ©puscule Ă  leurs clercs. Les clercs qui servent ces divinitĂ©s ont tendance Ă  ĂȘtre courageux, s'enfonçant dans l'obscuritĂ© pour y maĂźtriser ses dangers et apporter du rĂ©confort Ă  ceux qui sont perdus loin de la de domaine Niveaude clerc Sorts 1 lueurs fĂ©eriques, sommeil 3 tĂ©nĂšbres, invisibilitĂ© 5 aura de vitalitĂ©, petite hutte de LĂ©omund 7 aura de vie, invisibilitĂ© supĂ©rieure 9 cercle de pouvoir, songe MaĂźtrises supplĂ©mentairesAu niveau 1, vous gagnez la maĂźtrise des armes de guerre et des armures de la nuitAu niveau 1, vos yeux sont bĂ©nis, vous permettant de voir Ă  travers les tĂ©nĂšbres les plus profondes. Vous avez la vision dans le noir sans une distance maximum ; vous pouvez voir dans une lumiĂšre faible comme vous verriez avec une lumiĂšre vive, et dans le noir comme vous verriez avec une lumiĂšre faible. Au prix d'une action, vous pouvez magiquement faire bĂ©nĂ©ficier de cette capacitĂ© Ă  des crĂ©atures que vous pouvez voir dans un rayon de 3 mĂštres autour de vous durant 10 minutes. Vous pouvez utiliser cette capacitĂ© un nombre de fois Ă©gal Ă  votre modificateur de Sagesse minimum une fois et vous rĂ©cupĂ©rez tous les usages de cette capacitĂ© lorsque vous terminez un repos vigilanteAu niveau 1, la nuit vous a appris Ă  ĂȘtre vigilant. Par une action, vous donnez Ă  une crĂ©ature que vous touchez ou Ă©ventuellement Ă  vous-mĂȘme un avantage Ă  son prochain jet d'initiative. Ce gain prend fin immĂ©diatement aprĂšs le jet d'initiative ou si vous utilisez de nouveau cette divin sanctuaire du crĂ©pusculeRAPPEL DES RÈGLES LES POINTS DE VIE TEMPORAIRES NE SE CUMULENT PASSi vous avez des points de vie temporaires et en recevez d'autres, vous ne pouvez les ajouter aux premiers, Ă  moins qu'une rĂšgle ne prĂ©cise le contraire. Vous devez dĂ©cider quels points de vie temporaires vous gardez. Pour plus d'informations sur les points de vie temporaires, consultez le chapitre 9 du Manuel des partir du niveau 2, vous pouvez utiliser votre Conduit divin pour revigorer vos alliĂ©s. Par une action, vous prĂ©sentez votre symbole sacrĂ© et une sphĂšre de crĂ©puscule Ă©mane de vous. La sphĂšre est centrĂ©e sur vous, possĂšde un rayon de 9 mĂštres et est remplie de lumiĂšre faible. La sphĂšre se dĂ©place avec vous et dure 1 minute ou jusqu'Ă  ce que vous soyez incapable d'agir ou mort. Chaque fois qu'une crĂ©ature y compris vous-mĂȘme termine son tour dans la sphĂšre, vous pouvez accorder Ă  cette crĂ©ature l'un des avantages suivant Vous lui donnez 1d8 points de vie temporaires. Vous mettez fin a un effet qui la rend charmĂ© ou effrayĂ©. Pas du braveAu niveau 6, vous tirez une force de votre connexion au crĂ©puscule et ĂȘtes Ă  l'aise dans sa sombre Ă©treinte, ce qui vous procure deux avantages Vous avez un avantage aux jets de sauvegarde pour ne pas ĂȘtre effrayĂ©. Si vous ĂȘtes dans une lumiĂšre faible ou dans des tĂ©nĂšbres, vous pouvez utiliser une action bonus pour vous donner magiquement une vitesse de vol Ă©gale Ă  votre vitesse de marche jusqu'Ă  la fin de votre prochain tour. Frappe divineAu niveau 8, vous gagnez la capacitĂ© d'imprĂ©gner vos frappes avec une arme d'Ă©nergie divine. Une fois Ă  chacun de vos tours lorsque vous touchez une crĂ©ature lors d'une attaque avec une arme, vous pouvez lui infliger 1d8 dĂ©gĂąts psychiques supplĂ©mentaires. Lorsque vous atteignez le niveau 14, ces dĂ©gĂąts supplĂ©mentaires passent Ă  de minuitÀ partir du niveau 17, vous pouvez exploiter le pouvoir enveloppant de la nuit pour protĂ©ger vos alliĂ©s et gĂȘner vos ennemis. Chaque fois que vous lancez le sort tĂ©nĂšbres en utilisant un emplacement du sort, vous pouvez choisir un nombre de crĂ©atures que vous pouvez voir y compris vous-mĂȘme Ă©gal Ă  votre modificateur de Sagesse minimum une. Les crĂ©atures choisies peuvent voir dans les de l'unionUn sens d’unicitĂ© brille au cƓur des communautĂ©s en bonne santĂ©, qu'elles soient reliĂ©es ensemble par l’amitiĂ©, le sang, la foi ou quelle qu’autre force d’union. Les dieux de l’union approfondissent de tels liens et se dĂ©lectent de leur force. Les clercs de ces dieux prĂ©sident les mariages et autres usages reliant les familles, mais ils entretiennent aussi les liens d’amitiĂ© et de camaraderie. Leurs bĂ©nĂ©dictions divines soutiennent et protĂšgent les alliĂ©s dans la bataille Ă  travers ces liens profonds et repoussent les influences de domaineCapacitĂ© du domaine de l'union de niveau 1 Niveaude clerc Sorts 1 bouclier de la foi, hĂ©roĂŻsme 3 aide, lien de protection 5 communication Ă  distance, lueur d’espoir 7 aura de puretĂ©, gardien de la foi 9 lien tĂ©lĂ©pathique de Rary, restauration supĂ©rieure Lien enhardissantCapacitĂ© du domaine de l'union de niveau 1Vous pouvez forger un lien amĂ©liorĂ© entre des alliĂ©s. Par une action, vous pouvez choisir deux crĂ©atures consentantes que vous pouvez voir dans un rayon de 9 mĂštres autour de vous cela peut vous inclure et crĂ©er un lien magique entre elles. Tant que les crĂ©atures liĂ©es sont Ă  9 mĂštres l’une de l’autre, la crĂ©ature peut lancer un d4 et l’additionner Ă  un jet d’attaque, de caractĂ©ristique ou de sauvegarde qu’elle fait. Chaque crĂ©ature ne peut additionner le d4 qu'une seule fois par tour. Le lien dure pendant 1 heure ou jusqu’à ce que vous utilisiez cette capacitĂ© Ă  nouveau. Vous pouvez utiliser cette capacitĂ© une fois et regagnez la possibilitĂ© de le faire de nouveau aprĂšs avoir terminĂ© un repos long. Vous pouvez aussi dĂ©penser un emplacement de sort pour utiliser cette capacitĂ© Ă  divin fardeau partagĂ©CapacitĂ© du domaine de l'union de niveau 2Vous pouvez utiliser votre Conduit divin pour protĂ©ger vos alliĂ©s Ă  travers la force de vos liens partagĂ©s. Quand une crĂ©ature que vous pouvez voir dans un rayon de 9 mĂštres autour de vous subit des dommages, vous pouvez utiliser votre rĂ©action pour choisir un nombre d’autres crĂ©atures consentantes que vous pouvez voir, jusqu'Ă  concurrence de votre modificateur de Sagesse minimum une crĂ©ature. Distribuez les dommages subit entre la cible originale et les crĂ©atures choisies. Chaque crĂ©ature doit prendre au moins 1 point de dĂ©gĂąt. Appliquez n’importe quelle rĂ©sistance ou invulnĂ©rabilitĂ© des crĂ©atures impliquĂ©es aprĂšs avoir distribuĂ© les protecteurCapacitĂ© du domaine de l'union de niveau 6Le lien que vous forgez entre les gens les protĂšgent des prĂ©judices. Tant que les crĂ©atures choisies pour votre capacitĂ© de Lien enhardissant sont Ă  9 mĂštres l'une de l’autre, chacune peut utiliser sa rĂ©action pour accorder Ă  l’autre crĂ©ature la rĂ©sistance Ă  tous les dĂ©gĂąts quand celle-ci subit des dommages. Cette rĂ©sistance dure jusqu'Ă  la fin du tour en puissanteCapacitĂ© du domaine de l'union de niveau 8RAPPEL DES RÈGLES FRAPPE DIVINE OU INCANTATION PUISSANTE Chaque domaine divin du Manuel des joueurs donne Ă  un clerc l'une des deux capacitĂ©s suivantes au niveau 8 Frappe divine ou Incantation puissante. Si les clercs d'un domaine dĂ©pendent de l'utilisation d'une arme, ils obtiennent Frappe divine. Les autres obtiennent Incantation ajoutez votre modificateur de Sagesse aux dommages que vous infligez avec n’importe quel sort mineur de enduranteCapacitĂ© du domaine de l'union de niveau 17Les liens que vous crĂ©ez supporte les longues distances. Les crĂ©atures affectĂ©es par votre capacitĂ© Lien enhardissant en gagnent les bĂ©nĂ©fices, ainsi que ceux de votre capacitĂ© Lien de protection, tant qu’elles sont sur le mĂȘme plan d’existence. De plus, quand une crĂ©ature choisie pour votre Lien Enhardissant est rĂ©duite Ă  0 point de vie, son partenaire de lien gagne les avantages suivants durant 1 minute, ou jusqu'Ă  ce que la crĂ©ature regagne au moins 1 point de vie La crĂ©ature Ă  un avantage Ă  ses jets d’attaque, de caractĂ©ristique et de sauvegarde La crĂ©ature gagne la rĂ©sistance Ă  tous les dĂ©gĂąts Par une action, la crĂ©ature peut toucher son partenaire de lien pour dĂ©penser et lancer n’importe quel nombre de dĂ©s de vie. Son partenaire liĂ© regagne alors un nombre de points de vie Ă©gal au total lancĂ©. Traduit par kevetoile, weus, Ellef13, boblebuter, blueace et glooping 1D epuis plusieurs dĂ©cennies, mais surtout depuis un certain 11 septembre, le monde a pris conscience, avec stupeur pour sa grande majoritĂ©, de l’existence du terrorisme religieux et apprend Ă  vivre, attentat aprĂšs attentat, avec la rĂ©alitĂ© de l’intĂ©grisme musulman. 2 Mais qui se demande vraiment comment la Foi peut conduire Ă  la mort ? “ La mort est engloutie pour toujours ” IMAGINEZ le gros titre ci-dessus dans un journal, Ă  la place de celui qui rapportait le suicide d’une petite fille. Naturellement, aucun journal n’a jamais pu faire une telle dĂ©claration. Mais elle apparaĂźt bel et bien dans un livre plusieurs fois millĂ©naire la Bible. Les Écritures ne font pas de la mort un mystĂšre. Elles expliquent non seulement pourquoi nous mourons, mais aussi quelle est la condition des morts. Elles offrent en outre un espoir pour nos chers disparus. Enfin, elles annoncent une Ă©poque marquante oĂč il sera possible de rapporter “ La mort est engloutie pour toujours. ” — 1 Corinthiens 1554. La Bible explique en termes clairs ce qu’est la mort. Par exemple, elle compare Ă  plusieurs reprises le fait de mourir Ă  celui de s’endormir ’ et elle dit des personnes dĂ©cĂ©dĂ©es qu’elles “ dorment dans la mort ”. Psaume 133 ; 1 Thessaloniciens 413 ; Jean 1111-14. Elle prĂ©sente aussi la mort comme une ennemie ’. 1 Corinthiens 1526. Et surtout, elle nous permet de comprendre pourquoi la mort est comparable Ă  un sommeil, pourquoi elle afflige l’humanitĂ© et comment elle sera finalement vaincue. Pourquoi mourons-​nous ? Le premier livre de la Bible relate que Dieu a fait le premier homme, Adam, et l’a installĂ© dans une demeure paradisiaque GenĂšse 27, 15. Au dĂ©but de sa vie, Adam a reçu diffĂ©rentes tĂąches Ă  effectuer, assorties d’une interdiction formelle. À propos d’un certain arbre du jardin d’Éden, Dieu lui a dit “ Tu ne dois pas en manger, car le jour oĂč tu en mangeras, tu mourras Ă  coup sĂ»r *. ” GenĂšse 217. Pour Adam, il Ă©tait donc clair que la mort n’était pas inĂ©vitable, mais qu’elle dĂ©coulerait directement de la violation d’une loi divine. HĂ©las ! Adam et sa femme, Ève, ont dĂ©sobĂ©i. Ils ont ignorĂ© sciemment la volontĂ© de leur CrĂ©ateur, et ils en ont subi les consĂ©quences. “ Tu es poussiĂšre et tu retourneras Ă  la poussiĂšre ”, a prĂ©cisĂ© Dieu GenĂšse 319. Ils sont devenus gravement “ dĂ©fectueux ”, imparfaits. Leur imperfection, ou Ă©tat de pĂ©cheur, les conduirait Ă  la mort. Ce dĂ©faut, le pĂ©chĂ©, a Ă©tĂ© transmis Ă  leur descendance, autrement dit Ă  tout le genre humain. C’était en quelque sorte une maladie hĂ©rĂ©ditaire. Non seulement Adam a perdu la possibilitĂ© de vivre sans connaĂźtre le flĂ©au qu’est la mort, mais encore il a lĂ©guĂ© l’imperfection Ă  sa descendance. La famille humaine s’est retrouvĂ©e prisonniĂšre du pĂ©chĂ©. La Bible dĂ©clare “ VoilĂ  pourquoi, de mĂȘme que par un seul homme le pĂ©chĂ© est entrĂ© dans le monde et par le pĂ©chĂ© la mort, et qu’ainsi la mort s’est Ă©tendue Ă  tous les hommes parce que tous avaient pĂ©chĂ©... ” — Romains 512. “ Le pĂ©chĂ© est entrĂ© dans le monde ” Le dĂ©faut hĂ©rĂ©ditaire qu’est le pĂ©chĂ© n’est pas visible au microscope. Il s’agit d’une dĂ©ficience morale et spirituelle que nos premiers parents nous ont transmise et qui a des consĂ©quences physiques. Toutefois, la Bible rĂ©vĂšle que Dieu a fourni un remĂšde au pĂ©chĂ©. L’apĂŽtre Paul explique “ Le salaire que paie le pĂ©chĂ©, c’est la mort, mais le don que Dieu donne, c’est la vie Ă©ternelle par Christ JĂ©sus notre Seigneur. ” Romains 623. Dans sa premiĂšre lettre aux Corinthiens, Paul a donnĂ© cette assurance, qui Ă©tait trĂšs importante pour lui “ De mĂȘme [...] qu’en Adam tous meurent, de mĂȘme aussi dans le Christ tous seront rendus Ă  la vie. ” — 1 Corinthiens 1522. De toute Ă©vidence, JĂ©sus Christ joue un rĂŽle majeur dans l’élimination du pĂ©chĂ© et de la mort. Il est venu sur la terre, a-​t-​il dit, pour “ donner son Ăąme comme rançon en Ă©change de beaucoup ”. Matthieu 2028. On peut comparer la situation Ă  un enlĂšvement, oĂč la libĂ©ration de l’otage s’obtient uniquement par le paiement d’une certaine somme. Dans le cas prĂ©sent, la rançon qui peut nous libĂ©rer du pĂ©chĂ© et de la mort est la vie humaine parfaite de JĂ©sus *. — Actes 1039-43. Pour fournir la rançon, Dieu a envoyĂ© JĂ©sus sur la terre afin qu’il sacrifie sa vie. “ Dieu a tellement aimĂ© le monde qu’il a donnĂ© son Fils unique-engendrĂ©, afin que tout homme qui exerce la foi en lui [...] ait la vie Ă©ternelle. ” Jean 316. Avant de mourir d’une mort sacrificielle, Christ a rendu tĂ©moignage Ă  la vĂ©ritĂ© ’. Jean 1837. Par ailleurs, durant son ministĂšre public, il a profitĂ© de certains Ă©vĂ©nements pour rĂ©vĂ©ler la vĂ©ritĂ© sur la mort. La fillette dort ’ Lorsqu’il Ă©tait sur terre, JĂ©sus a cĂŽtoyĂ© la mort. Il a Ă©prouvĂ© le chagrin de perdre des personnes de son entourage et il Ă©tait tout Ă  fait conscient qu’il mourrait lui-​mĂȘme prĂ©maturĂ©ment Matthieu 1722, 23. Quelques mois, semble-​t-​il, avant que JĂ©sus ne soit exĂ©cutĂ©, son ami intime Lazare est mort. Cet Ă©pisode nous Ă©claire sur la façon dont JĂ©sus considĂ©rait la mort. Peu aprĂšs avoir appris le dĂ©cĂšs de Lazare, JĂ©sus a dit “ Lazare notre ami s’est endormi, mais je vais lĂ -bas pour le rĂ©veiller de son sommeil. ” Les disciples en ont dĂ©duit que, si Lazare s’était simplement endormi, il se rĂ©tablirait. C’est pourquoi JĂ©sus leur a dit explicitement “ Lazare est mort. ” Jean 1111-14. De toute Ă©vidence, JĂ©sus concevait la mort comme un sommeil. S’il nous est difficile de comprendre ce qu’est la mort, nous savons par contre ce qu’est le sommeil. Quand nous passons une bonne nuit, nous n’avons pas conscience du temps qui s’écoule ni de ce qui se passe autour de nous, car nous sommes dans un Ă©tat d’inconscience temporaire. C’est exactement ainsi que la Bible explique la condition des morts. EcclĂ©siaste 95 dĂ©clare “ Les morts, eux, ne savent rien. ” JĂ©sus a comparĂ© la mort Ă  un sommeil pour une autre raison on peut ĂȘtre rĂ©veillĂ© de la mort, grĂące Ă  la puissance de Dieu. Un jour, JĂ©sus s’est rendu dans une famille dont la petite fille venait de rendre son dernier souffle. “ La fillette n’est pas morte, mais elle dort ”, a-​t-​il affirmĂ©. Puis il s’est approchĂ© d’elle, lui a pris la main et elle “ se leva ”. En d’autres termes, elle fut relevĂ©e d’entre les morts. — Matthieu 924, 25. Pareillement, JĂ©sus a ramenĂ© Ă  la vie son ami Lazare. Mais avant d’accomplir ce miracle, il a consolĂ© Marthe, la sƓur de Lazare, en ces termes “ Ton frĂšre ressuscitera. ” Confiante, elle lui a rĂ©pondu “ Je sais qu’il ressuscitera Ă  la rĂ©surrection au dernier jour. ” Jean 1123, 24. Elle s’attendait manifestement Ă  ce qu’un jour tous les serviteurs de Dieu soient ressuscitĂ©s. Que se passe-​t-​il au juste lors d’une rĂ©surrection ? Le mot grec anastasis traduit ainsi signifie littĂ©ralement “ action de se mettre debout ”. Il dĂ©signe le fait d’ĂȘtre relevĂ© d’entre les morts. Cela paraĂźtra incroyable Ă  certains, mais aprĂšs avoir dĂ©clarĂ© que les morts entendraient sa voix, JĂ©sus a dit “ Ne vous Ă©tonnez pas de cela. ” Jean 528. Les rĂ©surrections que JĂ©sus a opĂ©rĂ©es sur terre nous donnent confiance dans cette promesse biblique les morts qui sont dans la mĂ©moire de Dieu se rĂ©veilleront de leur long “ sommeil ”. RĂ©vĂ©lation 2013 annonce “ La mer a rendu les morts qui s’y trouvaient, et la mort et l’hadĂšs [la tombe commune aux hommes] ont rendu les morts qui s’y trouvaient. ” Ces morts seront-​ils ressuscitĂ©s pour finalement vieillir et mourir une deuxiĂšme fois, Ă  l’exemple de Lazare ? Non, ce n’est pas ce que Dieu a prĂ©vu. La Bible nous promet que le jour viendra oĂč “ la mort ne sera plus ” ; donc personne ne vieillira ni ne mourra. — RĂ©vĂ©lation 214. La mort est une ennemie. Le genre humain en a beaucoup d’autres, tels que la maladie et l’ñge, qui causent aussi de grandes souffrances. Dieu promet de les vaincre tous, en finissant par le plus redoutable. “ Comme dernier ennemi, la mort sera rĂ©duite Ă  rien. ” — 1 Corinthiens 1526. Une fois cette promesse rĂ©alisĂ©e, les humains jouiront d’une vie parfaite, que le pĂ©chĂ© et la mort ne viendront plus gĂącher. En attendant, il est rĂ©confortant de savoir que ceux que nous aimons et qui sont morts se reposent et que, s’ils sont dans la mĂ©moire de Dieu, ils seront ressuscitĂ©s au moment qu’il a prĂ©vu. Pour donner un sens Ă  sa vie Une claire comprĂ©hension de ce qu’est la mort et l’espĂ©rance de la rĂ©surrection peuvent changer notre vision de l’existence. Ian, mentionnĂ© dans l’article prĂ©cĂ©dent, avait une vingtaine d’annĂ©es quand on lui a expliquĂ© Ă  l’aide de la Bible ce qu’est la mort. “ J’avais toujours vaguement espĂ©rĂ© que mon pĂšre Ă©tait quelque part, dĂ©clare-​t-​il. Aussi, quand j’ai appris qu’il Ă©tait simplement endormi dans la mort, sur le coup j’ai Ă©tĂ© dĂ©couragĂ©. ” Toutefois, en lisant que Dieu promettait une rĂ©surrection, Ian a Ă©tĂ© transportĂ© de joie Ă  l’idĂ©e de revoir son pĂšre. “ Pour la premiĂšre fois, je me suis senti en paix ”, se souvient-​il. GrĂące Ă  une bonne comprĂ©hension de ce qu’est la mort, il a trouvĂ© la paix de l’esprit, la tranquillitĂ©. Clive et Brenda ont perdu leur fils de 21 ans, Steven, dans l’accident mortel dont parle le premier article. Bien qu’ils sachent ce que la Bible dit au sujet de la mort, ils ont eu le cƓur brisĂ© par cette perte subite. La mort n’est-​elle pas une ennemie qui frappe cruellement ? La connaissance que donnent les Écritures sur la condition des morts a fini par adoucir leur peine. “ Notre comprĂ©hension de ce qu’est la mort nous a permis de reconstruire notre vie et de continuer d’avancer, explique Brenda. Bien sĂ»r, il ne se passe pas un jour sans que nous pensions au moment oĂč Steven se rĂ©veillera de son profond sommeil. ” “ Mort, oĂč est ton aiguillon ? ” À n’en pas douter, en comprenant quelle est la condition des morts, nous pouvons avoir une vision Ă©quilibrĂ©e de la vie. Il n’y a aucune raison pour que la mort reste un mystĂšre. Nous pouvons profiter de l’existence sans avoir la hantise de cette ennemie ’. De plus, si nous prenons conscience que la mort ne nous dĂ©truit pas forcĂ©ment pour toujours, nous n’aspirerons pas Ă  vivre uniquement pour le plaisir, persuadĂ©s que “ la vie est trop courte ”. Savoir que nos proches dĂ©cĂ©dĂ©s sont dans la mĂ©moire de Dieu et dorment dans l’attente d’une rĂ©surrection peut nous consoler et nous donner envie de continuer Ă  vivre. Incontestablement, nous pouvons attendre avec confiance le jour oĂč JĂ©hovah Dieu, Celui qui donne la vie, enterrera la mort pour toujours. Quelle bĂ©nĂ©diction ce sera lorsqu’on pourra vraiment demander “ Mort, oĂč est ta victoire ? Mort, oĂč est ton aiguillon ? ” — 1 Corinthiens 1555. [Notes] ^ § 6 C’est la premiĂšre fois que la Bible parle de la mort. ^ § 11 Le prix Ă  payer Ă©tait une vie humaine parfaite parce que c’était une vie humaine parfaite qu’Adam avait perdue. Le pĂ©chĂ© ayant contaminĂ© tous les humains, tous Ă©taient imparfaits, et par consĂ©quent aucun ne pouvait servir de rançon. Dieu a donc envoyĂ© son Fils depuis le ciel dans ce but Psaume 497-9. Pour de plus amples renseignements Ă  ce sujet, voir le chapitre 7 du livre La connaissance qui mĂšne Ă  la vie Ă©ternelle, publiĂ© par les TĂ©moins de JĂ©hovah. [Illustration, page 5] La dĂ©sobĂ©issance d’Adam et Ève a conduit Ă  la mort. [Illustration, page 6] Lorsque JĂ©sus a pris sa main, la petite fille s’est levĂ©e. [Illustration, page 7] Beaucoup attendent le moment oĂč leurs chers disparus seront, comme Lazare, tirĂ©s de leur sommeil. La mort est du domaine de la foi. Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir bien sĂ»r; ça vous soutient. Si vous n’y croyiez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez? Si on n’était pas solidement appuyĂ© sur cette certitude que ça finira, est-ce que vous pourriez supporter cette histoire? NĂ©anmoins ce n’est qu’un acte de foi; le comble du comble Home » Quote » Jacques Lacan » „La mort est du domaine de la foi. Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir bien sĂ»r; ça vous soutient. Si vous n’y croyiez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez? Si on n’était pas solidement appuyĂ© sur cette certitude que ça finira, est-ce que vous pourriez supporter cette histoire? NĂ©anmoins ce n’est qu’un acte de foi; le comble du comble, c’est que vous n’en ĂȘtes pas sĂ»r!“ Tags Citations associĂ©es „C'est que, vois-tu, cette fois, je suis bel et bien occupĂ© Ă  mourir. Je sais, dit comme ça, Ă  la premiĂšre personne du singulier, c'est Ă  n'y pas croire, et pourtant, Ă  y bien rĂ©flĂ©chir, c'est toujours Ă  la premiĂšre personne du singulier qu'on meurt pour de bon. Et c'est assez inacceptable, il faut bien le reconnaĂźtre.“ Enlien avec la dĂ©claration du Conseil permanent du 16 janvier 2014, le Conseil Famille et SociĂ©tĂ© a publiĂ© le 17 janvier 2014, une rĂ©flexion intitulĂ©e « Notre regard sur la fin de vie ». Ce texte, beaucoup plus long, cherche Ă  faire saisir la complexitĂ© des questions que soulĂšve la fin de vie et Ă  aider les catholiques, particuliĂšrement celles et ceux actifs dans le domaine de la
Archives DĂšs les premiers temps, l'autoritĂ© religieuse s'est ralliĂ©e Ă  l'autoritĂ© mĂ©dicale sur le moment du passage. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Comment dĂ©finir l'heure du "grand passage" ? Dater, pour le croyant, le moment du face-Ă -face avec Dieu ? En islam, l'heure de la mort cĂ©rĂ©brale est-elle celle de la mort lĂ©gale ? Autant de questions qui se posent Ă  propos de Yasser Arafat. Rien dans le Coran, ni dans les hadith propos rapportĂ©s du ProphĂšte n'Ă©claire l'autoritĂ© religieuse sur ces questions. Ni dans la jurisprudence. Mais, prĂ©cise Malek Chebel, anthropologue, dĂšs les temps les plus reculĂ©s dans l'islam, l'autoritĂ© religieuse se rallie sur ce point Ă  l'autoritĂ© mĂ©dicale. Pour l'islam, il y a "mort" Ă  partir du moment oĂč le mĂ©decin affirme que le malade est en Ă©tat de mort cĂ©rĂ©brale ou de coma trĂšs avancĂ© et constate qu'il n'y a aucune rĂ©mission possible. "La mort cĂ©rĂ©brale est la mort rĂ©elle", confirment les experts interrogĂ©s par Le Monde, notamment Ă  la MosquĂ©e de Paris. Cette mort ne peut ĂȘtre accĂ©lĂ©rĂ©e. Son heure n'appartient qu'Ă  Dieu. L'islam n'admet pas d'euthanasie active, ni mĂȘme les notions d'"aider Ă  mourir" ou de "mourir dans la dignitĂ©". Mais l'islam ne tolĂšre pas plus que la mort soit empĂȘchĂ©e. Les pratiques d'acharnement thĂ©rapeutique ne sont pas non plus conformes Ă  sa tradition. Quand la mort est constatĂ©e par le corps mĂ©dical - qui fixe donc la loi dans ce domaine - et devient officielle, l'imam, ou le proche qui assiste le mourant, prononce la shahada. La shahada - "Il n'y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophĂšte" - est la profession de foi de tout musulman, l'un des cinq "piliers". Elle est la derniĂšre parole que tout musulman, avant de mourir, doit prononcer, l'Ă©quivalent de l'extrĂȘme-onction catholique aujourd'hui appelĂ©e "onction des malades". Si le mourant n'est plus capable d'articuler la shahada, un majeur membre de la famille, un mĂ©decin musulman ou une autoritĂ© religieuse doit lui murmurer la shahada Ă  l'oreille. La tradition veut qu'il le fasse en tenant relevĂ© l'index du mourant, grĂące auquel Dieu et ses anges reconnaĂźtront l'identitĂ© du disparu. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Maparcelle ou la mort fera des victimes et fait toucher du doigt les rĂ©alitĂ©s insoupçonnĂ©es de ce phĂ©nomĂšne dans le domaine foncier. Selon le rĂ©alisateur, Sidnaba Zida, tout est parti d’une dolĂ©ance de sa MajestĂ© le Mogho Naaba, qui aurait suggĂ©rĂ©, au communicateur qu’il est, d’en faire souvent des dĂ©bats dans les mĂ©dias

Introduction foi et raison1Qu’y a-t-il aprĂšs la vie ? Cette question exprime implicitement que la vie a une fin nous parlons alors de la mort. La question peut donc aussi ĂȘtre formulĂ©e en ces termes qu’y a-t-il aprĂšs la mort ? Au niveau scientifique, la rĂ©ponse est simple il n’y a rien, sinon des traces de ce qui fut vivant. En ce qui concerne l’ĂȘtre humain, la question de la mort est plus dĂ©licate Ă  aborder. En effet, il y a de l’immatĂ©riel en l’homme selon les sensibilitĂ©s, on parlera alors d’ñme ou d’esprit. Ce qui est de l’ordre de la pensĂ©e ou de la spiritualitĂ© n’est-il que le rĂ©sultat du fonctionnement de notre chair, ou bien s’agit-il d’un lieu d’accĂšs Ă  un monde qui serait d’un autre ordre ? La science ne peut rĂ©pondre le discours, tout en restant argumentĂ©, doit alors faire intervenir ce qui est du domaine de la foi. 2Pour les chrĂ©tiens, la mort n’a pas le dernier mot. Au centre de la foi chrĂ©tienne rĂ©side l’affirmation de la rĂ©surrection de JĂ©sus, le Christ il a vaincu la mort. Saint Paul affirme clairement que, si le Christ n’est pas ressuscitĂ©, notre foi est vaine ; nous sommes les plus Ă  plaindre de tous les hommes. 1 Co 15. La mort Ă©tant vaincue, c’est la vie qui continue on ne peut donc pas parler d’ aprĂšs-vie », sinon d’ aprĂšs-vie » terrestre. 3Puisque la rĂ©surrection est le pivot autour duquel tout gravite pour essayer d’envisager quelque discours sur l’au-delĂ , cet exposĂ© l’abordera en premier. Quelques passages bibliques viendront ensuite mettre en contexte ce pivot central. Enfin seront abordĂ©es quelques conclusions logiques, issues de la rĂ©flexion et de la priĂšre des croyants ce seront quelques aspects du dogme rĂ©surrectionLes tĂ©moins initiaux4JĂ©sus est mort et a Ă©tĂ© enseveli une veille de sabbat. Les premiĂšres visites Ă  sa tombe ne peuvent donc avoir lieu que le troisiĂšme jour le surlendemain de sa mort. Ce sont une ou des femmes qui arrivent les premiĂšres au tombeau. Dans la sociĂ©tĂ© de l’époque, le tĂ©moignage d’une femme ne valait pas grand-chose. Dans les procĂšs, il fallait le tĂ©moignage d’au moins deux femmes pour contrebalancer celui d’un homme. Les premiers tĂ©moins sont donc des personnes peu crĂ©dibles selon les critĂšres du moment. Cela Ă©taye la vĂ©racitĂ© de l’épisode pour deux raisons. 5D’une part la prĂ©sence initiale de femmes est relatĂ©e dans les quatre Ă©vangiles. L’évĂ©nement est incontournable pour qu’il y ait cette unanimitĂ© alors que les sources qui rĂ©coltent ces tĂ©moignages sont diverses. D’autre part, si le rĂ©cit Ă©tait une construction littĂ©raire pour asseoir la soliditĂ© du tĂ©moignage, les auteurs auraient certainement choisi des hommes. 6Que voient ces premiers visiteurs du tombeau de JĂ©sus ? La rĂ©ponse est double. Sur le plan visuel et objectivement observable, ces femmes ou cette femme voient que la pierre qui fermait l’entrĂ©e du tombeau a Ă©tĂ© roulĂ©e. Elles voient Ă©galement un tombeau vide. Sur le plan spirituel, elles font une rencontre qui les bouleverse en profondeur. Les textes parlent d’un homme, de deux hommes, d’anges
C’est lĂ  que l’on passe au domaine de la foi, que les mots ne peuvent jamais parfaitement dĂ©crire. Seuls ceux qui avaient la foi ont vu le ressuscitĂ©. Cette foi est nĂ©cessaire pour approcher le ressuscitĂ©, et donc une certaine vision de l’aprĂšs-vie ! 7Les textes disent mĂȘme que leur tĂ©moignage n’est pas cru. Ces paroles semblĂšrent un dĂ©lire et ils ne croyaient pas ces femmes Lc 24, 11 On met leur parole en doute. La peur est mĂȘme prĂ©sente elles n’osent pas parler. Elles ne dirent rien Ă  personne car elles avaient peur Mc 16, 8. Rien ne va de soi. L’annonce premiĂšre de la rĂ©surrection est de l’ordre de la stupeur tombeau vide8La constatation est unanime le tombeau est vide le matin du troisiĂšme jour aprĂšs la mort de JĂ©sus. L’évangile de Jean 20,7 va mĂȘme jusqu’à donner des dĂ©tails prĂ©cis Pierre voit les bandelettes posĂ©es lĂ  et le linge qui avait recouvert la tĂȘte ; celui-ci n’avait pas Ă©tĂ© dĂ©posĂ© avec les bandelettes, mais il Ă©tait roulĂ© Ă  part, dans un autre endroit. Pour l’apĂŽtre Jean, c’est un signe qui lui donne la foi il vit et il crut. 9Une explication rationnelle est envisagĂ©e les disciples sont venus prendre le corps de JĂ©sus. L’évangĂ©liste Matthieu prĂ©cise que la pierre tombale fut scellĂ©e et qu’un garde fut postĂ© Mt 27, 62-66. Et il prĂ©cise un peu plus loin 28, 13 + Vous direz ceci ses disciples sont venus de nuit et l’ont dĂ©robĂ© pendant que nous dormions. 
 Ce rĂ©cit s’est propagĂ© chez les Juifs jusqu’à ce jour. 10Quoi qu’il en soit, le fait que le tombeau soit vide reste Ă©nigmatique. Ajoutons aux rĂ©cits cet aspect le lieu de sĂ©pulture est Ă©loignĂ© de moins de cent mĂštres du lieu de l’exĂ©cution, lieu surveillĂ© et protĂ©gĂ© par les Romains. Les archĂ©ologues s’accordent gĂ©nĂ©ralement sur ce point. Le mystĂšre apparitions11C’est Ă  partir de lĂ  que le domaine devient subjectif une apparition est une vision que seul le visionnaire perçoit ! Il peut aussi y avoir plusieurs visionnaires simultanĂ©s. Ce n’est pas parce que l’on entre dans le domaine de la subjectivitĂ© qu’un discours cohĂ©rent n’est pas possible. Cependant, il faut prendre conscience que la narration de l’expĂ©rience personnelle sera caduque d’une maniĂšre ou d’une autre. En effet, elle en rend compte avec un langage qui se rĂ©fĂšre Ă  l’expĂ©rience commune d’un phĂ©nomĂšne qui pourrait se rĂ©fĂ©rer aujourd’hui Ă  une autre dimension comme on peut parler de la cinquiĂšme dimension. 12Les diffĂ©rents rĂ©cits auront en commun la difficultĂ© de reconnaĂźtre objectivement JĂ©sus ressuscitĂ©, doublĂ©e d’une certitude intĂ©rieure, donc subjective, pour les croyants. Les expressions ne donnent pas dans le magique ni dans l’extraordinaire, mais tentent de rendre compte de ce qui ne semble mĂȘme pas parfaitement logique Ă  l’auteur. C’est ainsi que l’on a ce genre d’expressions il se manifesta Mc 16, 12 comme ils parlaient, JĂ©sus fut prĂ©sent au milieu d’eux Lc 24, 36, il se tint au milieu d’eux Jn 20, 19 et 26. Expressions au rĂ©flexif, qui ne disent rien du comment. Elles manifestent une forme de mise en prĂ©sence difficile Ă  dĂ©crire. 13On distingue deux grands lieux pour ces apparitions JĂ©rusalem et la GalilĂ©e. A JĂ©rusalem, la comprĂ©hension que l’on a du ressuscitĂ© se situe en vis-Ă -vis du temple, qui symbolise la religion vĂ©cue Ă  partir de prĂ©ceptes. En GalilĂ©e, dite GalilĂ©e des nations, il s’agira davantage de la rencontre du ressuscitĂ© dans le contexte d’une rencontre spirituelle intĂ©rieure et passer au chapitre suivant14De cette approche de la rĂ©surrection, centre de la foi chrĂ©tienne, on peut retenir les points suivants pour dire quelque chose sur l’au-delĂ . 15La vision du ressuscitĂ©, c’est-Ă -dire de celui qui a franchi la mort, ne va pas de soi. Elle est conditionnĂ©e Ă  la foi, qui permet de percevoir la dimension spirituelle de l’homme. Ensuite, les mots qui expriment la rencontre avec celui qui vit de ce que les chrĂ©tiens appellent la vie nouvelle, ne sont que des approximations, tant la richesse de l’évĂ©nement dĂ©passe nos limites de perception. 16Forts de cette expĂ©rience unique, celle de la rencontre avec le ressuscitĂ©, les Ă©vangĂ©listes ont, une quarantaine d’annĂ©es plus tard, mis par Ă©crit la vie de JĂ©sus. Les textes qu’ils ont produits ayant Ă©tĂ© Ă©crits aprĂšs la rĂ©surrection, les paroles et les actes de JĂ©sus sont donc relatĂ©s avec, d’une certaine façon, le rĂ©tro-Ă©clairage de la Ă©vangĂ©liques et paulinien17Pour essayer de percevoir quelque chose de ce qui se passe aprĂšs la mort terrestre, voici quatre passages tirĂ©s des Ă©vangiles. Ils utilisent la forme parabolique ; les deux premiers sous forme de rĂ©cit, les deux suivants sous forme de discours Ă©ventuellement dialoguĂ©. Ce genre littĂ©raire exprime des extrĂȘmes ou des absolus. D’un cĂŽtĂ©, ce qu’il faut Ă©viter. De l’autre, ce vers quoi il faut parabole du jugement18Evangile de Matthieu, 25, 31
. 19 Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siĂ©gera sur son trĂŽne de gloire. Toutes les nations seront rassemblĂ©es devant lui ; il sĂ©parera les hommes les uns des autres, comme le berger sĂ©pare les brebis des boucs il placera les brebis Ă  sa droite, et les boucs Ă  gauche. Alors le Roi dira Ă  ceux qui seront Ă  sa droite Venez, les bĂ©nis de mon PĂšre, recevez en hĂ©ritage le Royaume prĂ©parĂ© pour vous depuis la fondation du monde. Car j’avais faim, et vous m’avez donnĂ© Ă  manger ; j’avais soif, et vous m’avez donnĂ© Ă  boire ; j’étais un Ă©tranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillĂ© ; j’étais malade, et vous m’avez visitĂ© ; j’étais en prison, et vous ĂȘtes venus jusqu’à moi ! » Alors les justes lui rĂ©pondront Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu
 ? Tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? Tu avais soif, et nous t’avons donnĂ© Ă  boire ? tu Ă©tais un Ă©tranger, et nous t’avons accueilli ? Tu Ă©tais nu, et nous t’avons habillĂ© ? Tu Ă©tais malade ou en prison
 Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ? » Et le Roi leur rĂ©pondra Amen, je vous le dis chaque fois que vous l’avez fait Ă  l’un de ces plus petits de mes frĂšres, c’est Ă  moi que vous l’avez fait. » Alors il dira Ă  ceux qui seront Ă  sa gauche Allez-vous-en loin de moi 
 chaque fois que vous ne l’avez pas fait Ă  l’un de ces plus petits, c’est Ă  moi que vous ne l’avez pas fait. » Et ils s’en iront, ceux-ci au chĂątiment Ă©ternel, et les justes, Ă  la vie Ă©ternelle. » 20DerriĂšre le genre parabolique de ce passage, quels Ă©lĂ©ments retenir pour avoir une vision de ce qui se passe dans l’au-delĂ  ? J’en retiendrai deux une correspondance et la justice. 21Il existe une correspondance entre l’au-delĂ  et l’ici-bas. Les actes vĂ©cus dans l’univers terrestre ont une sorte de simultanĂ©itĂ© dans l’univers cĂ©leste. A un acte posĂ© sur terre correspond le mĂȘme acte aux cieux. L’auteur de l’acte ou de son omission est le mĂȘme dans les deux univers, mais celui qui subit l’acte ou son omission est n’importe quel ĂȘtre humain sur terre alors qu’il s’agit de Dieu lui-mĂȘme dans l’au-delĂ . De plus, la correspondance n’est pas une Ă©galitĂ©. Il existe une proportionnalitĂ©, une gradation plus il y a d’injustice sur terre, plus le monde cĂ©leste en est atteint. L’au-delĂ  est ici dĂ©fini comme ayant une prĂ©fĂ©rence pour les plus dĂ©munis d’une part et pour ceux qui auront pris soin d’eux d’autre part. 22Il est donc question de justice. La vie de l’au-delĂ  d’une certaine maniĂšre rĂ©pare les injustices et les situations de souffrance d’ici-bas d’une part et d’autre part rĂ©compense tout ce qu’il y a de positif dans les actions humaines, mais qui n’est pas obligatoirement visible. Le passage de ce monde Ă  l’autre passe donc par un jugement graduĂ©. L’aprĂšs-vie terrestre selon l’Evangile est le temps ou le lieu de la rĂ©ponse Ă  l’immense aspiration de l’humanitĂ© Ă  la Luc 16, 19-3123 Il y avait un homme riche, vĂȘtu de pourpre et de lin fin, qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommĂ© Lazare, qui Ă©tait couvert d’ulcĂšres. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais les chiens, eux, venaient lĂ©cher ses ulcĂšres. Or le pauvre mourut, et les anges l’emportĂšrent auprĂšs d’Abraham. Le riche mourut aussi, et on l’enterra. Au sĂ©jour des morts, il Ă©tait en proie Ă  la torture ; levant les yeux, il vit Abraham de loin et Lazare tout prĂšs de lui. Alors il cria PĂšre Abraham, prends pitiĂ© de moi et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau pour me rafraĂźchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. – Mon enfant, rĂ©pondit Abraham, rappelle-toi tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur pendant la sienne. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance. Et en plus de tout cela, un grand abĂźme a Ă©tĂ© Ă©tabli entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient passer vers vous ne le puissent pas, et que, de lĂ -bas non plus, on ne traverse pas vers nous. » Le riche rĂ©pliqua Eh bien ! PĂšre, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon pĂšre. En effet, j’ai cinq frĂšres qu’il leur porte son tĂ©moignage, de peur qu’eux aussi ne viennent dans ce lieu de torture ! » Abraham lui dit Ils ont MoĂŻse et les ProphĂštes qu’ils les Ă©coutent ! – Non, pĂšre Abraham, dit-il, mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront. » Abraham rĂ©pondit S’ils n’écoutent pas MoĂŻse ni les ProphĂštes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts ils ne seront pas convaincus. » 24Cette parabole repose sur un double paradoxe. D’une part elle affirme qu’un grand abĂźme sĂ©pare ceux qui sont prĂšs de Dieu et ceux qui sont Ă  la torture. D’autre part, la communication entre le sĂ©jour des morts de celui des vivants est dĂ©clarĂ©e inutile. Cela posĂ©, la parabole nous communique une conversation qui aurait justement eu lieu entre les deux cĂŽtĂ©s du sĂ©jour des morts. On voit donc bien qu’il s’agit d’un artifice littĂ©raire qui n’autorise pas Ă  lire ce texte Ă©vangĂ©lique de maniĂšre littĂ©rale. Il en Ă©tait de mĂȘme pour le texte prĂ©cĂ©dent. Comme prĂ©cĂ©demment aussi, l’au-delĂ  est prĂ©sentĂ© comme un lieu de justice en donnant des exemples que tout oppose. 25La diffĂ©rence fondamentale entre ces deux reprĂ©sentations de l’au-delĂ  est la suivante. Dans le texte de Matthieu, il n’y avait aucune rĂ©fĂ©rence Ă  la religion les actes posĂ©s Ă©taient les seuls critĂšres. Dans le texte de Luc, les personnages et les rĂ©fĂ©rences appartiennent clairement au monde de la religion. Tout d’abord Abraham c’est lui qui accueille les dĂ©funts en son sein », en tant que pĂšre des croyants. Ensuite, quand il donne en rĂ©fĂ©rence MoĂŻse et les ProphĂštes, il utilise une expression qui dĂ©signe en fait l’ensemble de la Bible Ă  laquelle il fait un devoir de se rĂ©fĂ©rer. 26L’au-delĂ  n’est pas prĂ©sentĂ© comme un monde religieux. Cependant, la religion donne des Ă©lĂ©ments qui permettent d’y accĂ©der dans les meilleures conditions. Elle est mĂȘme prĂ©sentĂ©e comme ce qui donne tous les Ă©lĂ©ments d’accĂšs. Mais, ici-bas, elle est prĂ©sentĂ©e comme un moyen qu’il faut prendre au sĂ©rieux, non pas dans sa forme, son cĂŽtĂ© rĂ©seau, mais dans son fond la recherche de l’amour et de la pain de vie Jn 6, 35 
 5927JĂ©sus disait Ă  ses disciples Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient Ă  moi n’aura jamais faim ; celui qui croit en moi n’aura jamais soif. Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel si quelqu’un mange de ce pain, il vivra Ă©ternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnĂ©e pour la vie du monde. Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie Ă©ternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. VoilĂ  ce que JĂ©sus a dit, alors qu’il enseignait Ă  la synagogue de CapharnaĂŒm. 28Qu’il y ait un lien entre le monde de Dieu et celui des hommes, toutes les religions l’attestent. Cependant, la diffĂ©rence entre ces deux mondes est telle qu’une comparaison directe n’est pas possible. Le procĂ©dĂ© que JĂ©sus utilise ici est l’analogie ; il parle de chair et de nourriture. 29Cela s’appuie sur une certaine vision de l’Homme. Dans le premier chapitre du livre de la GenĂšse, l’auteur dit que Dieu fit l’homme Ă  son image ; ce qui le diffĂ©rencie de toutes les autres crĂ©atures. Le second chapitre dira la mĂȘme chose en d’autres termes l’homme est la seule crĂ©ature qui est animĂ©e par le souffle de Dieu lui-mĂȘme. On peut donc dire que, d’une certaine maniĂšre, l’homme est Ă  la fois terrestre et cĂ©leste, matĂ©riel et spirituel. 30S’il existe une nourriture matĂ©rielle pour ce monde, il existe une nourriture spirituelle pour l’au-delĂ  c’est le Christ lui-mĂȘme, ce qui oblige donc Ă  penser l’au-delĂ  avec d’autres paradigmes que ceux de l’ les morts ressuscitent-ils 1 Co 15 ?31FrĂšres, 32Je vous rappelle la Bonne Nouvelle que je vous ai annoncĂ©e cet Évangile, vous l’avez reçu et vous y restez attachĂ©s. 33L’un de vous peut demander Comment les morts ressuscitent-ils ? Avec quelle sorte de corps reviennent-ils ? » RĂ©flĂ©chis donc ! Quand tu sĂšmes une graine, elle ne peut pas donner vie sans mourir d’abord ; et tu ne sĂšmes pas le corps de la plante qui va pousser, tu sĂšmes une graine tout nue du blĂ© ou autre chose. Et Dieu lui donne un corps comme il le veut Ă  chaque semence un corps particulier. 34Il en sera de mĂȘme quand les morts ressusciteront. Ce qui est semĂ© dans la terre est pĂ©rissable, ce qui ressuscite est impĂ©rissable ; ce qui est semĂ© n’a plus de valeur, ce qui ressuscite est plein de gloire ; ce qui est semĂ© est faible, ce qui ressuscite est puissant ; ce qui est semĂ© est un corps humain, ce qui ressuscite est un corps spirituel ; puisqu’il existe un corps humain, il existe aussi un corps spirituel. 35De mĂȘme que nous sommes Ă  l’image de celui qui est pĂ©tri de terre, de mĂȘme nous serons Ă  l’image de celui qui vient du ciel. 36Paul est le premier auteur chrĂ©tien Ă  mettre en mots une rĂ©flexion sur la rĂ©surrection. Jusque lĂ , les tĂ©moignages avaient Ă©tĂ© gardĂ©s et transmis, mais une vĂ©ritable rĂ©flexion sur le sujet n’avait pas commencĂ©. Saint Paul s’y voit contraint par toutes les questions qui lui parviennent. 37Le questionnement des premiers chrĂ©tiens est exactement le mĂȘme que le nĂŽtre aujourd’hui qu’y a-t-il de l’autre cĂŽtĂ©, comment se le reprĂ©senter ? La rĂ©ponse ne peut ĂȘtre qu’une analogie, une comparaison. Mais aussi, cette rĂ©ponse est situĂ©e dans le temps. Elle dĂ©pend de la vision de l’Homme qu’a la sociĂ©tĂ© qui pose cette question. En deux mille ans, la vision sur l’ĂȘtre humain s’est diversifiĂ©e au fur et Ă  mesure des dĂ©couvertes de cultures diffĂ©rentes ainsi que de l’évolution des sciences en gĂ©nĂ©ral, et de la philosophie en particulier, puisqu’elle donne souvent sinon son vocabulaire, mais souvent un cadre au thĂ©ologien. 38Dans ce texte, on voit bien Paul qui tĂątonne pour trouver les mots qui rĂ©pondront le mieux Ă  la question du comment. Le traducteur tĂątonne Ă©galement et la traduction est malaisĂ©e, car les termes utilisĂ©s Ă  l’époque pour dĂ©finir l’ĂȘtre humain ne correspondent pas tout Ă  fait Ă  ceux qui sont Ă  notre disposition aujourd’hui. Cependant, on peut dire que l’au-delĂ  est prĂ©sentĂ© comme un lieu de croissance de l’ĂȘtre vers son plein dogmatiques39Tous les dimanches, les catholiques proclament le rĂ©sumĂ© de leur foi dans le credo. On y trouve plusieurs affirmations qui concernent l’au-delĂ  la rĂ©surrection de la chair et le jugement dernier. Les textes des deux credo liturgiques datent des deuxiĂšme et quatriĂšme siĂšcles. La rĂ©flexion continuant, la notion de purgatoire arrivera plus tardivement, mais il faut l’inclure aujourd’hui comme un donnĂ© de la foi crois en la rĂ©surrection de la chair40Cette affirmation n’est pas Ă  entendre comme une rĂ©animation des cellules qui composent notre organisme. Le texte de l’évangile de Jean ci-dessus donne une clĂ© de lecture. Il s’agit ici de dire que ce qui constitue fondamentalement l’ĂȘtre humain est appelĂ© Ă  une vie nouvelle. 41En des termes contemporains, on peut dire ceci. La rĂ©surrection est un phĂ©nomĂšne individuel ce n’est pas une fusion dans un grand tout nirvana ni le passage de l’ñme d’un corps matĂ©riel Ă  un autre rĂ©incarnation. L’histoire vĂ©cue tout au long de la vie terrestre de chaque individu fait partie intĂ©grante de ce qui le constitue de sa chair. 42D’autre part, comme l’ĂȘtre humain est un ĂȘtre de relation, ce qui constitue sa chair sociale est fondamentalement basĂ© sur ses relations. Ainsi la rĂ©surrection de la chair concerne toute la vie relationnelle de l’ĂȘtre humain. 43La vision de l’au-delĂ  que laisse entrevoir cette expression du credo indique donc Ă  la fois une prolongation et une transformation de ce que nous sommes aujourd’ jugement44 Il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts ». Les images de ce jugement sont nombreuses, tout particuliĂšrement aux tympans de nombreuses Ă©glises. C’est l’occasion pour les peintres et les sculpteurs de s’en donner Ă  cƓur joie pour dĂ©noncer les injustices d’ici-bas. 45Le jugement est un seuil. Comme il fait partie de l’au-delĂ , il donne une vision de l’au-delĂ  qui n’est pas statique ou indiffĂ©rente. Le texte de Matthieu ci-dessus l’exprimait dĂ©jĂ . Le jugement comporte Ă  la fois des dimensions individuelles et collectives. Il va vers une sociĂ©tĂ© juste et purgatoire46Le mot n’apparaĂźt qu’au XIIe siĂšcle, mais il est le rĂ©sultat d’une longue rĂ©flexion qui compile plusieurs sujets. Les vivants peuvent-ils aider les morts par la priĂšre ou d’autres moyens ? Si tout n’est pas au carrĂ© au moment de la mort, a-t-on une possibilitĂ© d’arranger les choses ? 47Le mot de purgatoire n’est pas trĂšs beau il Ă©voque une purge. Il vient de l’idĂ©e de purification pour accĂ©der Ă  la perfection. Dieu doit nous rendre capable de le voir il doit nous ajuster, rendre notre ĂȘtre capable de le rencontrer. Cette rencontre se fait de plus dans ce monde que notre imagination peine Ă  se reprĂ©senter, si l’on ne veut pas cĂ©der Ă  la simplification ou Ă  la caricature, comme c’est trop souvent le cas. 48Il faut joindre une autre approche Ă  celle de la purification. Dans la mesure oĂč l’au-delĂ  peut-ĂȘtre compris comme l’union de la crĂ©ature avec son crĂ©ateur, l’idĂ©e de purgatoire peut ĂȘtre approchĂ©e de celle de fiançailles, temps heureux du dĂ©sir et de l’ajustement qui prĂ©cĂšde l’union. 49On peut aussi Ă©voquer le temps de l’Exode. Entre l’enfer la mort en l’Egypte et le paradis de la terre promise, il faut un temps de purification et la loi de Dieu donnĂ© Ă  MoĂŻse pour aller vers ce Paradis
Pour conclure une reprĂ©sentation quasi impossibleDans l’espace-temps50Pour le croyant, l’au-delĂ  est cet espace » oĂč la crĂ©ature rejoint son crĂ©ateur dans un face Ă  face. Mais notre capacitĂ© de reprĂ©sentation est alors mise Ă  mal. En effet, pour crĂ©er notre univers, le crĂ©ateur a eu besoin de crĂ©er l’espace et le temps pour l’y mettre. Le lieu auquel nous appartenons ne peut ĂȘtre sinon pensĂ© du moins imaginĂ© que dans l’espace-temps. Ainsi, comment pouvons-nous concevoir dans notre esprit un lieu » duquel auraient Ă©tĂ© créés l’espace et le temps ? La tĂąche est pied, Ă  cheval et en fusĂ©e vers Narnia51Vouloir dĂ©finir l’indicible, c’est impossible. Mais tant d’auteurs souhaitent en faire goĂ»ter quelque chose Ă  leurs lecteurs. 52Dans le livre de science-fiction A pied, Ă  cheval et en fusĂ©e, les hĂ©ros de Clifford Simak se trouvent dans un univers apparemment mortifĂšre oĂč aucune Ă©chappatoire n’est possible, apparemment, alors qu’elle est vitale. Vers la fin du roman, les hĂ©ros trouveront leur salut en changeant de niveau », en accĂ©dant spirituellement Ă  un autre univers. 53C’est un procĂ©dĂ© analogue que C. S. Lewis utilise pour l’un de se personnages du monde de Narnia. Pour faire comprendre que le lion Aslan a franchi la mort, ceux qui ont la foi se voient dotĂ©s de la capacitĂ© de voir sa prĂ©sence et le chemin qui conduit Ă  son royaume, pourtant cachĂ© Ă  tous. 54Que ce soit dans le domaine de la foi, que ce soit dans la littĂ©rature ou d’autres formes d’art, la description d’un au-delĂ  est toujours une gageure. Ces quelques pages auront juste essayĂ© de faire percevoir que la vision de l’au-delĂ  pour les chrĂ©tiens se base sur une promesse, celle du Christ, et sur une logique qui dĂ©coule de tĂ©moignages divers. Peut-ĂȘtre aurez-vous ressenti toute la prudence que mettent les croyants Ă  exprimer quelque chose de cet au-delĂ , alors qu’ils en expĂ©rimentent certains aspects dans leur vie spirituelle au bout de tout ce mouvement, un amour les attend et ils le dĂ©couvrent de commencements en commencements qui n’ont pas de fin.

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Ledomaine de Chaalis, situĂ© Ă  40km au nord de Paris, s’étend sur plus de 1000 hectares de terres, de forĂȘts et d’étangs. FondĂ©e en 1137 par le roi Louis VI, cette abbaye est devenue au cours du XIXe siĂšcle un lieu de sĂ©jour imprĂ©gnĂ© par le Romantisme. À cĂŽtĂ© du bĂątiment conventuel amĂ©nagĂ© en demeure de plaisance s’élĂšvent les ruines de l’ancienne

Bonjour Mon amie, “Nous avons Ă©tĂ© crucifiĂ©s avec le Christ pour que le mal n’ait plus de prise sur nous et que nous n’ayons plus besoin d’obĂ©ir comme des esclaves Ă  ses sollicitations. Car celui qui est mort est libre du pĂ©chĂ©â€ Romains 62/7. Parole Vivante Alors qu’un ĂȘtre cher est atteint par une terrible maladie, que son agonie s’éternise, qu’il aspire Ă  mourir pour que cesse ce long chemin d’une interminable souffrance, lorsque la mort vient, il nous est arrivĂ© d’entendre ces paroles Pour lui, c’est une dĂ©livrance !». Si je souligne ce fait c’est pour rappeler que ce qui est vrai dans le domaine physique l’est Ă©galement dans le domaine spirituel. C’est ce que souligne l’apĂŽtre Paul dans l’épĂźtre aux Romains, comme nous l’avons relevĂ© en introduction. Sa conclusion est nette Car celui qui est mort est libre du pĂ©chĂ©. » Ce Ă  quoi fait allusion l’apĂŽtre est capital, il indique que la libĂ©ration du pouvoir du pĂ©chĂ© n’est possible que dans la mort Ă  nous-mĂȘmes. D’une maniĂšre abrupte nous pourrions dire Pas de mort Ă  soi-mĂȘme, pas de dĂ©livrance. » Si nous recherchons la dĂ©livrance par des efforts personnels, par les Ɠuvres, par les mĂ©rites, nous perdons du temps et de l’énergie. Le seul chemin de la dĂ©livrance c’est une acceptation totale de la mort de notre nature charnelle, en nous identifiant Ă  Christ dans sa mort. VoilĂ  pourquoi l’apĂŽtre pouvait dire J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi » Galates 220. Etant crucifiĂ© avec Christ, il vivait libre Ă  l’égard du pĂ©chĂ© mais aussi Ă  l’égard de la loi mosaĂŻque. Seule notre identification Ă  Christ dans sa mort nous procure une entiĂšre et totale dĂ©livrance. Si les liens du pĂ©chĂ© sont encore agissants dans votre vie, si le carcan religieux vous Ă©crase, sachez que la dĂ©livrance n’est pas dans un combat ultime de vos efforts personnels, elle est seulement dans l’acceptation du principe de la croix dans votre propre vie. LĂ  rĂ©side la totale libertĂ©. Ma priĂšre pour aujourd’hui Seigneur, je veux mourir Ă  moi-mĂȘme, pour vivre dans la libertĂ© que tu m’offres. Amen. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

misB.
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  • la mort est du domaine de la foi