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Quela vie en vaut la peine Publié le 09 septembre 2011 par Lauravanelcoytte C'est une chose étrange à la fin que le monde Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit Ces moments de bonheur ces midis d'incendie La nuit immense et noire aux déchirures blondes. Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croit D'autres viennent Ils ont le coeur que j'ai moi-même Ils savent toucher l'herbe
Cette phrase, je l'ai entendue à propos d'un enfant de 5 ans à peine. Cela m'a choquée. Comment peut-on abandonner un enfant sous prétexte qu'il est turbulent ? Un jour, j’ai entendu cette phrase à propos d’un enfant de 5 ans Il n’en vaut pas la peine. » J’ai trouvé cela à la fois choquant et révoltant qu’une personne puisse dire cela d’un si petit enfant. Il s’agissait pourtant d’un enfant de bonne famille ». Un père, une mère ; tout pour être épanoui. Mais c’était un petit garçon qui était souvent agité. Il ne tenait pas en place et faisait parfois des crises de colère. Certains penseront C’est normal. C’est un enfant ! » Mais ce n’est pas l’avis de tout le monde… C’est une cause perdue ! » Il n’en vaut pas la peine. » Cette phrase, c’est sa propre tante qui l’a prononcée. Et si c’était la seule ! Alors que ce petit bout » n’avait – et n’a toujours ! – que quelques années, il était même mis de côté par sa maîtresse d’école, qui le disait insupportable ». Mais pourquoi ? C’est cette question qui aurait dû être posée. Cet enfant était souvent délaissé au profit de sa petite soeur, née peu après lui. Sa mère avait visiblement une préférence pour la petite princesse. Alors, tout s’explique. L’enfant était sûrement jaloux ou souhaitait simplement attirer l’attention pour que quelqu’un s’occupe de lui. Personnellement, j’ai été choquée d’entendre cela à propos d’un enfant. Parce qu’à cet âge là , l’enfant dépend surtout de ses parents. Il n’est pas autonome. S’il profère des insultes envers ses parents, c’est en partie de leur faute car les parents sont le pilier de sa vie. Peu importe son âge d’ailleurs. Qu’il s’agisse d’un bambin, d’un enfant ou d’un adolescent, à partir du moment où les parents ne s’occupent plus de lui, il est perdu, désorienté, ne sait plus quelle est la marche à suivre. Et au lieu d’aider ces enfants, souvent, on entend pour les désigner C’est une cause perdue », C’est un bon à rien », C’est une fainéante ». Faire aimer les choses de la vie La solution ? Les aider. Parce qu’au final, ce sont eux les plus malheureux. Parents, professeurs, ou autres personnes en charge d’enfants qui paraissent difficiles, ne les jugez pas. Essayez plutôt de les comprendre afin de les aider. Sans repères, ils sont perdus. Ils ne demandent qu’à pouvoir avancer dans le bon sens, mais pour cela, ils ont besoin de quelqu’un derrière eux, non pas pour les gronder ou leur dire à quel point ils sont nuls dans un domaine, mais pour les réveiller ; quelqu’un qui va leur faire aimer l’éducation ou simplement les choses de la vie. Emma, 20 ans, étudiante, Lille
Catéchèseen français. « La béatification de 124 martyrs ainsi que la rencontre avec les jeunes ont été le signe qu’il y a quelqu’un, Jésus Christ, pour lequel il vaut la peine de donner sa vie », déclare le pape François en dressant un bilan de son voyage apostolique en Corée du Sud (13-18 août), lors de l’audience générale de ce 20 août 2014.
A strange thing this world one day I will exit without having said it all, those moments of happiness, those incendiary high noons, the endless black night with its blonde tearings…Maybe nothing is as precious as we think. Others will come - their heart just like my own; others who know how to touch the grass and say I love you, dream in the evening when voices die will make the journey just like myself - smile at the sight of a child, turn around when hearing their name whispered, while yet others will turn their gaze to the will always be a trembling couple for whom this morning will be their first dawn; there will always be the water, the wind, the light - after all nothing passes away but the passer the end there’s one thing I can’t understand this fear of dying people harbor inside, as if it were not sufficiently marvelous that at a given moment the sky looked so tender to us…Yes, I know this might seem too short at times; that’s how we are made that joy and pain escape from the overrunning cup like lying wine and to our thirsts the whole sea is but a foretaste. Still, despite the terrible times - a load heavy on the back and a devastated heart - always this impossible choice between being and having been along with the wrinkle its pain leaves around the mouth… Yet, despite the war, the injustice, and the insomnia during which you grudgingly carry the little fox in your heart - its name, bitterness - and God knows I have done my part carrying it forever in my heart like child abducted… Despite the evil of men and the ridicule at one’s faux pas, despite the monstrous reasons presented to you in order to imprison all that you love and think worth dying for… Despite the cursed days, deep as bottomless pits, despite those nights endlessly fixed on hatred, despite the enemies - companions of our chains - My God, My God, they know not what they are doing… Despite old age and when suddenly your heart gives up on you with those nearby ready to attach responsibility to everything, and yet indifferent to the very thing that’s eating you inside, - the plain old story of using you to get a revenge of their own - Despite all cruelty and the filthy rubbish they throw at you, without even knowing in what school’s name, despite the crazy ideas we thought we have suffered from without being able to find consolation in an injury or cry… All this hell… Despite all nightmares and hurts, separations, mourning, bearing masks and what not... yet, all that one wanted with his whole heart was his naïve trust in azure… Despite it all, I tell you, this life was such that to those who want to listen to me - for to such I am speaking - without having on my lips another word except for thank you,’ I would say that despite it all, life was beautiful.
Iln’est pas facile de tout recommencer, on s’accroche à des souvenirs ou à des situations parce qu’elles nous sont familières. Parfois, c’est la seule chose qu’on connaît et rester dans le même environnement nous
Si le capitalisme commence à réfléchir, alors il est capitalisme n’est fait que pour les bourrins. Totalment d’accord avec toi FredFR, le temps n’existe pas en lui-meme, l’espace oui; Le temps n’est qu’une variable qui n’a deja pas la meme valeur en bas et en haut de la tour Eiffel, alors …a des millions d’AL…. Philosophe, il ne vous donner de la nourriture? Un philosophe, quand on a encore à manger … De temps? Cela se fait-il dans le temps? Quel est le temps? Il ne cesse de varier en fonction du référentiel dans l’espace. S’il existe que vaut-il au centre ponctuel ou annulaire d’un trou noir en particulier au delà du rayon de Schwarzschild ? De l’espace, oui, mais le temps …!!?? Bien, mais ce discours n’est pas très courtier! La naissance. Il nous faut remonter à environ -14 Mds d’années avec pour nous à présent la divergence originelle modèle les 10 équations classiques de la diffusion ou de continuité d’Albert et avec hélas encore 2 postulats de trop mais moins quand quantique trop difficile de notre espace particules, étoiles, … pas du temps qui lui est un paramètre immortel comme les températures cinétiques 0°K ou à notre échelle les spectateurs de l’intérieur d’un hyper trou noir cannibale dans un univers encore plus vaste immense, qui nourrit les vivants sur Terre aussi? Rire Ce qui est le plus dangereux dans la vie? À la naissance! Sans la naissance pas de risque. Que vaut la vie? Je citerais en résumé et très humblement, Jean Carteret, grand philosophe »Nous vivons pour l’instant d’après et n’avons pas le choix du choix ». Le jour se lève, il faut tenter de vire » selon un poèteVive le retour vie d’avant et ses jours plus beaux. Enterrement à New Delhi d’une personne morte du Covid-19, le 10 mai 2020 AFP/SAJJAD HUSSAIN Que vaut une vie? La question taraude les philosophes, mais c’est aussi un débat qui agite les économistes depuis des décennies, et qui se voit relancé par la perspective du déconfinement, synonyme d’arbitrage entre risque mortel et ravages économiques ou sociaux. Interrogé le 6 mai, alors que la pandémie de coronavirus a fait plus de morts dans le monde, pour savoir si la relance de l’économie américaine va coûter des vies, Donald Trump admet Il est possible que cela arrive ». Les mesures de confinement, en gelant l’activité économique, font flamber chômage et précarité. Aux Etats-Unis, plus de 20 millions d’emplois ont disparu en un seul mois. En France, un mois de confinement coûte trois points de produit intérieur brut, selon l’Insee. Il y a un arbitrage les vies perdues contre les pertes économiques », tous les économistes le savent », écrit l’économiste américain Daniel Hamermesh, sur le site de l’institut de recherches sur le travail IZA. Certains ont déjà dégainé la calculatrice. Bryce Wilkinson estime par exemple, dans un article pour The New Zealand Initiative, cercle de réflexion libéral, que dépenser 6,1% du produit intérieur brut du pays pour sauver au maximum vies serait justifié. Avant de dépenser davantage, il faut se demander si l’on ne sauverait pas plus de vies en investissant dans des routes plus sûres, ou d’autres mesures sanitaires ». – 3 millions en France, 10 aux États-unis – M. Hamermesh de son côté compte que pour une vie sauvée aux Etats-Unis, 200 emplois sont perdus, soit 4 millions de dollars de salaire envolés en moyenne, là où la valeur d’une vie statistique » dans le pays est estimée à entre 9 et 10 millions de dollars par divers organismes fédéraux. Sauver des vies est donc le meilleur choix économique, argumente-t-il, sans compter qu' »une vie est perdue pour toujours », à la différence d’un emploi. La brutalité mathématique fait frémir, pourtant cette notion de valeur de la vie statistique » est bien connue des décideurs publics du monde entier. Elle est fixée en France à quelque 3 millions d’euros, depuis un rapport en 2013 du Commissariat général à la statistique et à la prospective. D’où vient ce chiffre? Les gens sont capables de mettre un prix sur un casque de vélo, il y a des primes pour un métier à risque… C’est là -dessus que se base le calcul », détaille pour l’AFP Béatrice Cherrier, chercheuse au CNRS. En combinant ces choix économiques qui augmentent ou baissent légèrement la probabilité de mourir, les statisticiens arrivent à quelque 3 millions d’euros. Le chiffre est révoltant si on en fait la valeur intrinsèque d’une vie humaine », explique à l’AFP Pierre-Yves Geoffard, professeur à la Paris School of Economics, spécialiste de l’économie de la santé. Il faut y voir selon lui un outil d’allocation des ressources pour les politiques de sécurité routière, de santé, d’environnement. L’Organisation mondiale de la santé conseille d’évaluer les dépenses sanitaires à l’aune du concept d' »année de vie en bonne santé » gagner une année ne devrait pas coûter plus de trois fois le PIB par habitant. Sans que la froide arithmétique ne l’emporte toujours, note M. Geoffard des recherches coûteuses sont engagées pour essayer de guérir des maladies très rares, et personne n’y trouve à redire. – De La Guerre Froide A l’origine de ces débats, la Guerre froide. A la fin des années 1940, l’armée de l’air américaine réfléchit à une stratégie de frappe aérienne contre l’Union soviétique. La Rand Corporation, institut qui la conseille, conclut que le plus rentable » serait d’envoyer un grand nombre d’appareils rudimentaires pour submerger l’adversaire. Tollé de l’état-major le savant calcul omet le coût » des vies de pilotes sacrifiées. Mais comment évaluer ce coût »? En fonction de ce que gagnent les individus, approche utilisée pour indemniser les proches des victimes du 11 septembre 2001? Un banquier vaudrait » donc plus qu’une caissière? Au moment où la pandémie met en lumière l’importance de métiers mal payés, dans le commerce, la logistique, l’hygiène? A la fin des années 1960, Thomas Schelling prix Nobel d’économie en 2005, pose différemment la question combien vaut la vie? » devient combien cela coûte-t-il de réduire le risque de mourir? » S’impose alors cette idée de vie statistique », aujourd’hui la plus utilisée, mais qui n’est pas parfaite, reconnaissent les experts. Dans les pays pauvres, négocier une prime de risque » est impensable. La vie n’y vaudrait donc rien ou presque? Par ailleurs, un individu qui fera l’impasse sur un airbag pour économiser quelques euros, se ruinera pour un traitement augmentant faiblement ses chances de survivre à une maladie la vie n’a pas la même valeur selon que la mort est proche, ou seulement une probabilité statistique abstraite. Aucun chiffre ne peut remplacer la responsabilité politique, économistes avertissent de toute façon. Il y a un arbitrage à faire en matière de levée des mesures de confinement, c’est indéniable. Mais il faut un débat public, pas s’appuyer sur un chiffre d’expert et clore la discussion », estime Béatrice Cherrier. Est-ce qu’on veut que ce calcul soit explicite, assumé, débattu? Ou qu’il reste implicite, caché? C’est ça qui pose des enjeux éthiques », estime pour sa part Pierre-Yves Geoffard. © 2020 AFP
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que la vie en vaut la peine